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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Des femmes unies contre les migrations irrégulières
Des femmes de la région de la CEDEAO se réunissent
à Dakar pour trouver un moyen de lutter contre les
migrations irrégulières entre l'Afrique
sub-saharienne et l'Europe.
Le président sénégalais Abdoulaye Wade a
officiellement inauguré ce forum de deux jours,
organisé par la Renaissance africaine des femmes de
l'Afrique de l'Ouest (RAFAO). Ce forum réunit près de
250 femmes dirigeant et représentant des associations de
femmes engagées dans la sensibilisation du grand public aux
dangers liés aux migrations irrégulières.
« Des femmes du Sénégal et de la
région, courageuses et déterminées, ont d'ores
et déjà créé des associations pour
combattre les migrations irrégulières en expliquant
aux jeunes qu'ils ne doivent pas remettre leurs vies entre les
mains de trafiquants peu scrupuleux » explique le Directeur
général adjoint de l'OIM, Mme Ndioro Ndiaye. «
Des initiatives de cette nature doivent être
encouragées tout comme des approches visant à
créer un environnement socio-économique
approprié susceptible de décourager les jeunes
à émigrer clandestinement. »
Yayi Bayam Diouf, une des femmes participant à ce forum,
dirige l'Association des femmes pour la lutte contre
l'émigration clandestine. Cette association se rend
régulièrement dans la banlieue de Dakar pour
persuader les jeunes hommes de ne pas risquer leur vie en se
lançant dans un voyage périlleux pour rallier
l'Europe.
« Je leur explique que sur une centaine d'hommes qui se
lancent dans une telle aventure, près de 50 sont
peut-être morts en mer, 25 n'ont pas donné de
nouvelles à leurs proches et 10 ont été
renvoyé dans leur pays. Les autres sont probablement dans
des camps ou sont arrivés jusqu'en Espagne où ils ne
sont pas parvenus à trouver un véritable emploi
» explique Yayi Bayam Diouf. « En fin de compte, je
leur explique qu'il vaut mieux pour eux rester au pays. »
Aujourd'hui, les participants discuteront des moyens à
mettre en uvre pour encourager les migrants potentiels
à jouer un rôle plus actif dans le
développement du continent africain. Les programmes de
migrations temporaires pour le travail en Afrique et entre
l'Afrique de l'Ouest et l'Europe seront également
abordés afin de lutter plus efficacement contre les
réseaux de passeurs.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Jo Lind Roberts
OIM Dakar
Tél. : + 221 869 6200
E-mail :
"mailto:jlroberts@iom.int">jlroberts@iom.int