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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Déclaration du Réseau des Nations Unies sur les migrations sur l’adoption officielle du Pacte mondial sur la migration
New York/Genève - Le nouveau Réseau des Nations Unies sur les migrations salue la validation officielle, le 19 décembre 2018, par l’Assemblée Générale, de l’aboutissement de la Conférence de Marrakech. L’adoption du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières est un moment historique dans la poursuite d’une coopération internationale sur les migrations au profit de tous.
Saluant la décision de l’Assemblée Générale, Louise Arbour, Représentante spéciale du Secrétaire Général pour la migration internationale, a déclaré : « l’adoption officielle du Pacte représente un engagement retentissant envers un cadre international sur les migrations fondé sur des faits, et non des mythes, et envers la reconnaissance que les politiques migratoires nationales sont plus efficaces lorsqu’elles sont mises en œuvre de manière collective plutôt qu’isolée. »
« Le Pacte arrive à point nommé », a déclaré le Directeur général de l’OIM, António Vitorino. « Il renferme la promesse d’un discours fondé sur des faits et moins politiquement chargé sur la migration, une feuille de route pour élaborer des politiques plus globales afin d’améliorer la vie des migrants et des communautés dans lesquelles ils vivent et la possibilité de réduire les flux migratoires dangereux, chaotiques et irréguliers. »
Le Pacte mondial sur la migration est le tout premier cadre mondial négocié dans une approche commune à la migration internationale dans toutes ses dimensions. Bien qu’il ne soit pas juridiquement contraignant, le Pacte est le fruit d’un processus intensif de négociations apportant une plateforme solide de coopération en matière de migration pour aujourd’hui et demain, s’appuyant sur les meilleures pratiques et le droit international, pour rendre la migration sûre et positive pour tous.
L’importance du Pacte réside également dans la reconnaissance que des politiques migratoires effectives et une meilleure protection des plus vulnérables nécessitent l’appui de nombreux acteurs. A cette fin, le Pacte a été renforcé par la participation d’une vaste alliance de partenaires de la société civile, du secteur privé, des syndicats, de la diaspora et des communautés de migrants, des institutions nationales chargées des droits de l’homme, des autorités locales, des réseaux de jeunes et d’autres acteurs.
Le système des Nations Unies est déterminé à soutenir la mise en œuvre du Pacte mondial en créant un Réseau des Nations Unies sur les migrations : une communauté collaborative d’entités des Nations Unies qui s’unissent pour apporter un soutien efficace et coordonné aux Etats membres et aux autres partenaires en faisant avancer les objectifs approuvés à Marrakech. Ce Réseau mettra à profit l’expertise et la capacité des Nations Unies pour aider à renforcer les avantages de la migration et faire face à ses nombreux défis.
« La migration est un phénomène à multiples facettes », a déclaré António Vitorino, s’exprimant en tant que coordonnateur du Réseau, au nom de son Comité de direction et de l’ensemble des Etats membres de l’Organisation. « Elle englobe des questions profondes et urgentes de développement durable, de changement climatique, de crise humanitaire, de contrôle des frontières, de sécurité, de lutte contre la traite et le trafic illicite d’êtres humains, et nécessite de trouver des solutions de migration légale, notamment pour le travail, et de mieux protéger nos droits universels. Aucune organisation de la communauté des Nations Unies ne peut, à elle seule, aborder toutes les dimensions de la migration, mais ensemble, nous avons la chance de pouvoir véritablement changer les choses. C’est la mission du Réseau. »
Evoquant ses observations finales à la Conférence de Marrakech, Louise Arbour a ajouté : « A mesure que les nombreuses initiatives proposées par le Pacte prendront racine, nous verrons que des vies seront sauvées, que les conditions de vie seront améliorées et que les communautés s’intégreront et s’épanouiront grâce à un développement et à une prospérité accrus. Tournés vers l’avenir, nous serons mieux équipés pour nous appuyer sur un esprit de solidarité plutôt que sur l’indifférence, ou pire, sur l’égoïsme qui pourrait nous déchirer. »
Le Réseau des Nations Unies sur les migrations a été établi à la demande du Secrétaire Général et est intégré dans le Pacte mondial sur la migration. Il regroupe actuellement 38 entités du système des Nations Unies. Le Directeur général de l’OIM est le coordonnateur du Réseau. Un Comité de direction de huit entités en assure la supervision stratégique et en est le principal organe décisionnel.
Les membres du Comité de direction sont : Le Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (ONU DAES) ; l’Organisation internationale du Travail (OIT) ; l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ; le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) ; le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) ; le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) ; le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) ; et l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC).
Pour plus d’informations, veuillez contacter Charbel Raji, Tel. +1917484264, email : raji1@un.org