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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Concert de charité en soutien aux enfants victimes de traite au Ghana
Un concert de charité à lieu aujourd'hui au
Hammerstein Ballroom à New York, en soutien au programme de
l'OIM qui porte secours aux enfants victimes de traite
enlevés pour travailler dans les villages de pêcheurs
au Ghana, et aide à leur réinsertion.
L'évènement, qui reçoit différents
musiciens dont Push Play, Saving Jane, Tamarama, Graham Colton et
WOW, a été organisé par les membres et les
partisans de « One is Greater Than None », un groupe
crée en avril 2007 par huit adolescentes de Long Island,
à New York.
Les membres de One Is Greater Than None présentera un
chèque de 68 800 dollars à l'OIM pour permettre de
financer les opérations de secours et de réinsertion
de 16 enfants victimes de traite.
Trois amis du groupe ont décidé de les rejoindre
et sont chargés d'organiser le concert de ce soir.
« Les filles ont passé d'innombrables heures
à organiser et préparer chaque aspect de ce concert
de charité. Les filles du groupe sont très
reconnaissantes envers ces trois adolescents qui ont
décidé de faire partie du projet et de changer les
vies de nombreux enfants », déclare Karen Barnofsky,
mère d'une des membres du groupe.
L'opération de secours de l'OIM pour 2009 a
débuté à la mi-février avec la
libération d'un premier groupe de 22 enfants qui sont
désormais placés dans un service du centre de
réinsertion et de protection sociale, dans la capitale
ghanéenne, Accra. Ces enfants passeront trois mois et demi
à préparer leur réinsertion totale grâce
à une assistance psychosociale, une aide médicale,
une éducation et une thérapie par l'art.
« L'opération de secours 2009 prend plus de temps
que d'habitude car nous avons dû entrer dans des
négociations difficiles avec les pêcheurs pour les
convaincre de libérer les enfants de leur plein gré
», explique Eric Peasah, responsable du projet de l'OIM de
lutte contre la traite au Ghana.
A la fin de leur réinsertion, les enfants rejoindront
leurs familles et leurs communautés respectives. Peu de
temps après, ils seront inscrits à l'école ou
à des programmes de formation professionnelle. Les
parents/tuteurs des enfants secourus recevront également des
microcrédits afin d'entreprendre des activités
durables de génération de revenus.
La semaine prochaine, l'équipe de l'OIM retournera dans
les villages de pêcheurs dans les régions de Kete
Krachi et Yeji près du lac Volta pour secourir 14 autres
enfants.
D'ici la fin de la mission 2009, l'OIM aura sauvé 36
enfants de la traite, rapportant ainsi le nombre total d'enfants
secourus à 684 depuis le début de l'opération
en 2002.
En préparation de chaque opération de secours,
l'OIM et ses partenaires gouvernementaux et non-gouvernementaux
locaux font de nombreuses visites dans les villages de
pêcheurs dans le but d'identifier les enfants victimes de
traite, de collecter des informations, et de sensibiliser les chefs
des villages. Dans les villages d'origine, l'OIM travaillent avec
les chefs, les parents et la communauté afin de les
sensibiliser aux dangers du travail des enfants et de la traite, et
d'identifier les opportunités de génération de
revenus pour les parents qui ne sont alors pas obligés de
donner leurs enfants aux pêcheurs. Les pêcheurs qui
libèrent les enfants reçoivent eux aussi des
formations et des microcrédits pour leur permettre de
créer des entreprises de moyens de subsistance alternatifs
ou d'améliorer leurs techniques de pêche sans avoir
recours au travail des enfants.
La détresse des enfants victimes de traite, forcés
à travailler des heures dans des situations dangereuses,
notamment en plongeant dans les eaux froides pour sortir les
filets, malnutris car ils reçoivent peu ou pas de nourriture
et sont régulièrement victimes de coups de la part de
leurs « maîtres », a attiré l'attention du
public dans de nombreux pays.
« La réaction des gens nous inspire tous à
l'OIM. Leur générosité et leur soutien donne
une motivation supplémentaire à nos équipes
qui travaillent sur le terrain », déclare Richard
Danziger, responsable de la lutte contre la traite.
Jusqu'à maintenant, le grand public a contribué
à concurrence de près de 600 000 dollars dans le
programme de l'OIM qui reçoit également du
financement de la part du Bureau de la Population, des
Réfugiés et des Migrations du Département
d'Etat américain.
Pour en savoir plus sur le projet de l'OIM de lutte contre la
traite au Ghana, veuillez consulter la page:
"/jahia/Jahia/lang/en/pid/1666" target="" title=
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Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Eric Peasah
OIM Ghana
Tél. +233 24 217 0827
E-mail :
"mailto:epeasah@iom.int">epeasah@iom.int