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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- 2030 AGENDA
Collaboration pour lutter contre la traite des êtres humains
Récemment, des accords de
coopération ont été signés entre
l’OIM et le Ministère équatorien des affaires
étrangères, l’Institut national de
l’enfant et de la famille, la police et le département
spécialisé dans l’enfance et
l’adolescence, pour lutter ensemble contre la traite des
êtres humains. Ces accords ont bénéficié
du soutien de la Première dame, qui a participé, en
tant que « témoin d’honneur », à
leur signature.
En août 2004, le gouvernement
d’Equateur a émis un décret stipulant que la
lutte contre la traite des êtres humains était une
priorité nationale. De plus, en juin 2005, le code
pénal a été modifié et des articles sur
les peines encourues pour le délit de traite ont
été rajoutés. En tant que partenaire dans la
lutte du gouvernement contre la traite des êtres humains,
l’OIM coordonne ses activités avec les principales
institutions gouvernementales concernées.
Les nouveaux accords mettront l’accent
sur les efforts communs nécessaires pour améliorer
les institutions, sensibiliser les personnes concernées et
former les responsables. Ces accords visent aussi à
promouvoir les droits humains des victimes, à travers des
activités de prévention adressées directement
à la population vulnérable, en particulier aux
enfants et aux adolescents.
Une commission de travail a été
formée. Un employé de chaque institution assistera
à des séances de travail périodiques. En
premier lieu, les membres échangeront des informations sur
la traite des êtres humains pour améliorer la
coordination des procédures, compiler les informations et
élaborer un plan de travail commun qui sera
évalué chaque trimestre.
Bien qu’il n’existe aucune
étude ni statistiques fiables sur la traite des êtres
humains en Equateur, l’Organisation internationale du travail
(OIT) estime que plus de 5 000 filles et adolescentes ont
été exploitées sexuellement. La
majorité des victimes viennent de petites villes et sont
transportées vers de plus grandes villes.
Pour plus d’informations, veuillez
contacter :
Maria Isabel Moncayo
Téléphone : 593.2-22-53-948/49/50
Courrier électronique :
href="mailto:mmoncayo@oim.org.ec" target="_blank" title=
"">mmoncayo@oim.org.ec
Robert Natiello
Téléphone : 593.2-22-53-948/49/50
Courrier électronique :
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