-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
On neglige trop souvent les migrants dans les crises, estime l’OIM a l’occasion de la journee internationale qui leur est consacree
En dépit de leur contribution essentielle au
développement de l’économie mondiale, les
migrants sont souvent ceux vers qui l’attention se
porte en tout dernier lieu dans les situations de conflit,
fait observer l’OIM à l’heure où elle
célèbre la journée internationale des
migrants.
Alors que l’évacuation des occidentaux du Liban, en
juillet-août de cette année, a suscité
l’attention du monde entier, il n’en a pas
été de même des dizaines de milliers de
travailleurs migrants qui ne pouvaient quitter ce pays par leurs
propres moyens et auxquels leur pays d’origine
n’était pas en mesure de venir en aide.
L’évacuation humanitaire de plus de 11.000 migrants
à laquelle l’OIM a procédé au Liban
– pour la plupart des femmes originaires d’Asie et
d’Afrique et travaillant comme employées de maison
– a été la dernière opération en
date dans l’histoire de l’Organisation pour venir en
aide à des migrants piégés dans une situation
de conflit.
Plus récemment, lors de la 2ème guerre du Golfe en
2003, l’OIM a évacué vers la Jordanie des
migrants se trouvant en Iraq. Cette même année, elle a
aussi évacué des migrants fuyant les violences au
Libéria et en Côte d’Ivoire.
A chaque fois que des migrants se trouvent piégés
dans un conflit, la capacité de l’OIM à
intervenir dépend des fonds qu’elle réussira
à mobiliser, une opération qui prend du temps,
d’où un surcroît d’épreuves et
d’anxiété pour ceux qui attendent une aide
tardant parfois à venir.
L’évacuation humanitaire d’urgence à
laquelle l’OIM a procédé au Liban et qui a
été rendue possible par des versements de fonds de la
Commission européenne et des Etats-Unis a mis en
lumière, une fois de plus, la nécessité de
mettre en place un mécanisme permanent pouvant assurer une
évacuation rapide des migrants originaires de pays qui ne
disposent pas des moyens financiers ou logistiques
d’évacuer leurs nationaux.
Pour Brunson McKinley, Directeur général de
l’OIM, « il est indéniable que les migrants
contribuent de manière significative au développement
économique et social des pays dans lesquels ils vivent et
travaillent. Par conséquent, il n’y a aucune
raison que leur sécurité et leur bien-être ne
bénéficient pas de la même
considération».
Plusieurs gouvernements se sont déjà
prononcés pour que l’OIM crée un fonds
d’évacuation d’urgence devant lui permettre,
ainsi qu’aux gouvernements concernés, à ses
partenaires des Nations Unies et aux ONG, de se porter
également au secours des migrants vulnérables en leur
apportant des vivres, des soins médicaux, un
hébergement provisoire et une assistance consulaire, et en
les enregistrant avant leur évacuation.
Si ce type d’assistance revêt une importance
critique, il se peut que les migrants aient également
besoin d’aide à leur arrivée au pays. Il
n’est en effet pas rare qu’ils aient tout perdu en
quittant le pays dans lequel ils travaillaient. Par ailleurs, ils
n’ont pas forcément des proches vers qui se tourner ou
un endroit où se loger. Une assistance psychosociale
est donc particulièrement essentielle, surtout pour ceux et
celles qui ont vécu des expériences
traumatisantes.
« Il nous faut rapidement mettre un tel dispositif sur
pied, de sorte que lorsqu’un nouveau conflit éclatera,
nous serons, avec d’autres, en mesure d’agir
rapidement. Pour cela, il faut que nous ayons l’appui
de la communauté internationale dans son ensemble », a
encore ajouté M. McKinley.
Une vidéo de qualité professionnelle est à
disposition des diffuseurs. Elle peut être
téléchargée en qualité à partir
du site Internet de l’OIM:
"paragraph-link-no-underline" href=
"http://www.iom.int">www.iom.int ou
"paragraph-link-no-underline" href=
"http://www.quicklink.tv/IOM/download.asp?Clip_ID=1212" target=
"_blank" title=
"">http://www.quicklink.tv/IOM/download.asp?Clip_ID=1212 en
même temps qu’un script et la liste des plans et
séquences.