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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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La dimension regionale des migrations internationales et du developpement
L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le
Bureau des Commissions régionales des Nations Unies
à New York accueilleront conjointement une table ronde
sur le thème « Dimension régionale des
migrations internationales et du développement » le 13
septembre 2006, entre 15 h et 17 h 30, à la salle du Conseil
de tutelle, au Siège des Nations Unies.
Cette table ronde, qui s'inscrit dans le cadre du Dialogue
de haut niveau sur les migrations internationales et le
développement devant avoir lieu les 14 et 15 septembre
à l'occasion de l'Assemblée générale
des Nations Unies, sera présidée par le Directeur
général de l'OIM, Brunson McKinley, avec la
participation de trois chefs de secrétariat, à savoir
ceux de la Commission économique des Nations Unies pour
l'Afrique (CEA), de la Commission économique et sociale des
Nations Unies pour l'Asie et le Pacifique (CESAP) et de la
Commission économique et sociale des Nations Unies pour
l'Asie occidentale (CESAO), ainsi que de ministres et de hauts
fonctionnaires.
« Ce débat doit contribuer au Dialogue de Haut
niveau en s'appuyant sur les approches régionales de la
migration internationale et du développement, et sur les
processus consultatifs régionaux (PCR) auxquels l'OIM
apporte son soutien depuis plus de dix ans » a
déclaré M. McKinley.
Les Commissions régionales des Nations Unies ont
joué un rôle de soutien de plus en plus actif en
faveur de la recherche régionale et de la facilitation du
dialogue de politique régionale sur les aspects
pluridimensionnels de la migration internationale et du
développement.
C'est ainsi que la CESAO (Commission pour l'Asie occidentale),
par exemple, est sur le point de publier son troisième
rapport sur la population et le développement,
consacré au chômage des jeunes et aux migrations
internationales dans les pays arabes.
Lors de sa session de 2006, la CESAP a organisé, en
partenariat avec le Gouvernement indonésien, une
manifestation parallèle consacrée à l'examen
des mécanismes complexes de la migration internationale et
du développement dans la région Asie-Pacifique,
l'accent étant plus particulièrement mis sur la
sexospécificité.
Quant à la Commission économique pour
l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), la session
qu'elle a tenue en mars 2006 a été consacrée
aux défis et aux opportunités que présentent
les migrations du point de vue du développement,
considérés sous l'angle des droits humains des
migrants et des membres de leur famille.
Le nouveau rapport de la CEA, « Migration
internationale et développement: les incidences pour
l'Afrique », qui sera présenté à
l'occasion du Dialogue de haut niveau, défend l'argument
selon lequel les politiques migratoires coercitives dans les pays
d'origine et d'accueil sont un obstacle à la paix et
à la sécurité à tous les niveaux et
empêchent de tirer tout le profit possible de la migration
internationale.
L'OIM a signé un accord de coopération avec la CESAO
en juillet 2006, ainsi que des mémorandums d'accord avec la
CEA et la CEPALC.
Si cette approche régionale de la gestion des migrations
gagne du terrain, c'est en partie dû à la prise de
conscience croissante du fait que, si la migration internationale
apparaît aujourd'hui comme un phénomène global
de plus en plus complexe, la majeure partie des flux migratoires
s'inscrivent toujours dans un schéma régional et se
distinguent parfaitement les uns des autres par les
caractéristiques propres à chaque région et
l'intérêt partagé des groupes de pays qui
participent à cette approche régionale.
En tant que tribunes mises sur pied à l'initiative des
Etats et ne liant pas les parties, les processus consultatifs
régionaux (PCR), qui réunissent les
représentants des gouvernements au niveau régional
pour débattre de questions migratoires
d'intérêt commun, facilitent les échanges
informels d'informations, d'expériences et de bonnes
pratiques. Leur caractère informel, non contraignant et non
politisé autorise une communication directe et des
discussions franches, tout en offrant aux Etats participants la
possibilité de tenter de nouvelles approches et en jetant
les bases d'une mise en réseau, d'un dialogue et d'une
coopération.
Les PRC varient en taille et en champ d'activité. Tandis
que le Processus de Budapest, créé en 1991 pour
oeuvrer à l'application de mesures conjointes censées
remédier à l'augmentation de la pression
exercée par la migration irrégulière en
Europe, réunit plus de 50 gouvernements et 10 organisations
internationales, l'une des plus jeunes de ces tribunes, à
savoir le Dialogue 5+5 sur la migration en
Méditerranée occidentale, ne réunit que 10
membres - les pays d'Europe et d'Afrique du Nord limitrophes du
bassin méditerranéen le plus concernés par les
flux migratoires en tant que pays d'origine, de destination ou de
transit.
Le fait de réunir des pays exportateurs et importateurs
de migrants dans un dialogue ouvert et constructif revêt une
importance cruciale au niveau des réponses
économiques et sociales qu'il s'agit d'apporter à la
migration irrégulière, laquelle découle des
disparités économiques.
Les consultations ministérielles sur l'emploi outre-mer
et la main d'oeuvre contractuelle, ou Processus de Colombo, sont un
autre exemple de cette dimension régionale. Les onze Etats
Membres dont sont originaires les travailleurs migrants d'Asie et
les huit Etats Membres qui sont les pays de destination de cette
main-d'oeuvre ciblent leurs débats sur les questions de
migration de main d'oeuvre et coopèrent dans le cadre de
programmes axés sur la protection des travailleurs migrants
vulnérables, les possibilités de migration
régulière et le renforcement de capacités.
Le Processus de Puebla, qui regroupe des Etats d'Amérique
du Nord et d'Amérique centrale, offre un exemple de dialogue
encore plus large, dans la mesure où il coopère
également avec des acteurs non gouvernementaux qui - sans
être ni membres ni observateurs - sont invités
à participer activement aux consultations et aux
manifestations parallèles.
Pour finir, l'Union européenne - avec l'engagement de ses
pères fondateurs en faveur de la libre circulation des
travailleurs à l'intérieur des frontières de
l'Union - représente peut-être le modèle le
plus important en termes de gestion régionale des
migrations. A présent, l'Union européenne travaille
également à l'élaboration d'une politique
commune en matière d'asile et d'immigration, en ciblant ses
efforts sur une gestion plus efficace des flux de migration
internationale, ce qui passe par un contrôle plus efficace de
ses frontières extérieures. Elle a en outre
noué d'importants partenariats avec les pays et les
régions d'où proviennent les migrants.
Pour plus d'informations, merci de contacter:
Jean Philippe Chauzy
IOM
Tel: + 1 347-582-8328
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IOM
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