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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Compte tenu de la nature transnationale du phénomène migratoire et du large éventail de défis auquel font face les États aujourd’hui dans le domaine de la migration, les processus consultatifs régionaux (PCR) sont devenus des mécanismes importants de dialogue et de coopération entre les États dans ce domaine. En raison de l’importance des PCR et du rôle qu’ils jouent dans l’élaboration de politiques migratoires et la gestion des migrations régionales par les États, la Commission mondiale sur les migrations internationales (GCIM ou la Commission mondiale) et l’OIM considèrent qu’il est important de consulter les principaux acteurs associés à ces processus et d’évaluer leur intérêt et leur incidence. Un atelier sur les processus consultatifs régionaux a ainsi été organisé conjointement par la Commission mondiale et l’OIM, les 14 et 15 avril 2005, auquel ont été invités à participer des fonctionnaires gouvernementaux représentant les présidents actuels de certains PCR (et, le cas échéant, ceux qui ont assuré ou assureront la présidence) et des représentants des secrétariats de certains PCR (ou, lorsqu’aucun secrétariat officiel n’a été désigné, des représentants d’entités qui fournissent des services de secrétariat, par exemple un appui technique ou une aide pour la coordination). L’atelier avait principalement comme objectif de débattre des activités actuelles des PCR et d’évaluer l’intérêt que présentent les PCR aujourd’hui pour la gestion des migrations et leur incidence.
Dans le cadre du Dialogue international de l’OIM sur la migration (IDM) lancé lors d’une session du Conseil, l’OIM a organisé une table ronde sur les processus consultatifs régionaux en juin 2002. Depuis, les faits nouveaux dans ce domaine ont toujours été représentés à l’IDM. Les résultats de l’atelier seront présentés aux membres de l’OIM à l’occasion de l’IDM.
L’atelier faisait partie d’un programme général d’analyse des politiques migratoires et de séries connexes d’activités consultatives, qui ont lieu avec la participation d’une grande diversité d’acteurs : gouvernements, institutions internationales, entreprises, syndicats, entités non gouvernementales, médias, milieux universitaires et d’autres acteurs. Les résultats de l’atelier seront pris en compte dans la préparation du rapport final de la Commission mondiale (qui sera présenté au Secrétaire général et aux États Membres des Nations Unies en automne 2005).
- Agenda
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14 avril 2005
L’atelier s’est ouvert par des remarques liminaires de M. Rolf K. Jenny, Directeur exécutif de la Commission mondiale, et de M. Robert G. Paiva, Directeur du Département des relations extérieures de l’OIM. Puis M. Frank Laczko, Chef de la Division Recherche et publications de l’OIM, a présenté un diaporama dans lequel il donnait des informations générales sur les principaux PCR. Les participants se sont penchés sur l’évolution des PCR, en étudiant des questions telles que les raisons de l’augmentation récente du nombre de PCR, les résultats visés, l’identification des parties prenantes qui ont pris l’initiative de leur création, et leur couverture géographique actuelle et souhaitée. La discussion a ensuite porté sur un examen des ressemblances et des différences entre les PCR, ceux établis sur le plan géographique comme ceux qui sont organisés par thème. Pour ouvrir cette discussion, des représentants de chaque PCR ont présenté brièvement leur PCR. Plus tard, dans l’après-midi, les participants ont examiné les réalisations, les incidences, les réussites et les échecs des PCR.
15 avril 2005
La deuxième journée a commencé par la poursuite des discussions de la veille sur les réalisations, les incidences, les réussites et les échecs des PCR. Puis les participants ont débattu du brassage d’idées entre les PCR, en examinant des sujets tels que l’échange d’idées et d’informations qui a eu lieu par le passé entre les PCR, et les avantages des échanges dans le futur. Ensuite, une discussion a eu lieu sur les relations des PCR avec des institutions économiques et politiques, et des institutions chargées de la sécurité, et sur les conséquences pour les PCR de l’inscription récente de la migration au programme d’un grand nombre de ces institutions. L’après-midi a été consacrée à l’avenir des PCR ; des participants ont donné leur opinion sur des sujets tels que l’orientation vers laquelle se dirigent les PCR et leur signification pour la gouvernance des migrations internationales dans le futur, et sur la question de savoir si des normes et des conceptions communes émergent de ces processus.
Avant l’atelier, il avait été demandé à un représentant de chaque PCR invité de préparer une note succincte répondant aux questions suivantes :
- Dans les cas où différents ministères s’occupent de questions débattues lors de réunions d’un ou de plusieurs PCR, comment cette action est-elle coordonnée sur le plan interne ? Comment pourrait-elle être coordonnée ? La coordination est-elle considérée comme avantageuse et/ou nécessaire ?
- Dans quelle mesure les PCR atteignent-ils les objectifs qu’ils se sont fixés ? Les consultations et toute recommandation qu’ils adoptent font-elles l’objet d’un suivi concret – et sous quelle forme ?
- La migration a été de plus en plus souvent inscrite aux programmes d’organisations régionales intergouvernementales telles que l’UE, l’UA, l’ASEAN et le Mercosur. Est-ce que les PCR continueront d’être des enceintes de discussions informelles importantes ou est-ce qu’ils seront intégrés à l’action de ces organisations ? Si les PCR continuent de jouer un rôle, est-ce que leur action peut et devrait être associée directement à celle de ces organisations ou cadres régionaux et politiques plus formels ?
- Dans quelle mesure existe-t-il un échange d’idées et d’informations entre les différents PCR ? Quels ont été la nature et le résultat de cet échange ? S’il n’y a pas d’échange ou s’il est inapproprié, un dialogue plus transrégional serait-il avantageux ? Dans l’affirmative, quel devrait être son objectif ?
Une liste des documents fournis par les représentants des PCR en réponse à ces questions est accessible en cliquant sur le lien :
- Documents d’atelier
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- Ordre du jour (en anglais) Agenda
- Rapport succinct de l’atelier (en anglais)
- Liste des participants (en anglais)
- Documents fournis par les participants
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- Consultations Asie-Pacifique (Fidji) (en anglais)
- Processus de Bali (coprésidents) (en anglais)
- Consultations intergouvernementales (Secrétariat) (en anglais)
- Conférence régionale sur les migrations/Processus de Puebla (Secrétariat technique) (en anglais)