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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Où travaillons-nous
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Promotion de conditions de travail sûres et décentes à bord des bateaux de pêche dans le Pacifique
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Date de début
2022
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Actif
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Type de projet
Protection et assistance aux migrants vulnérables
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Budget Amount (USD)
400000.00
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Couverture
Regional
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Année
2022
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IDF Region
Asie et Océanie
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Prima ID
SB10P0518
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Projet ID
PX.0366
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Federated States of Micronesia Îles Salomon Tuvalu
Les conditions de travail à bord des bateaux de pêche dans le Pacifique peuvent se caractériser par de longues heures de travail, un niveau de risque élevé, de mauvaises conditions de vie, une faible rémunération et de longues périodes passées en mer. Les personnes employées sur ces bateaux peuvent être confrontées à divers problèmes, notamment de mauvaises conditions de travail, des violations des droits du travail et des pratiques de traite d’êtres humains. Les États membres de l’Agence des pêches du Forum des îles du Pacifique ont montré leur volonté de remédier à cette situation en adoptant récemment des conditions minimales d’emploi pour les membres d’équipage. Cependant, il demeure difficile de veiller à la bonne mise en œuvre et au respect de ces conditions. Les cadres institutionnels et opérationnels qui devraient être en place pour protéger les droits de ces travailleurs sont de ce fait lacunaires, ce qui crée un important déficit de travail décent à bord des bateaux de pêche. Par ailleurs, les parties prenantes clés, les aspirants pêcheurs et le grand public doivent être mieux informés sur l’ampleur et l’étendue des mauvaises conditions de travail, des violations des droits du travail et de la traite d’êtres humains dans le secteur de la pêche. À l’heure actuelle, les interventions de prévention et de protection menées en faveur des personnes employées à bord de bateaux de pêche – principalement des hommes – sont souvent insuffisantes, quand elles ne font pas défaut.
L’intervention proposée vise à s’atteler à ces problèmes dans les États fédérés de Micronésie, aux Îles Salomon et aux Tuvalu grâce à deux effets directs : 1) Les pays insulaires du Pacifique repèrent les mauvaises conditions de travail, les violations des droits du travail et la traite d’êtres humains dans le secteur de la pêche et y remédient ; et 2) Les journalistes, les médias et d’autres acteurs des pays insulaires du Pacifique sensibilisent à l’ampleur et à l’étendue de ces problèmes sur les bateaux de pêche. À cette fin, une évaluation sera faite des points forts et des lacunes des mesures de lutte contre la traite prises par les pays cibles, dont les conclusions seront ensuite utilisées pour favoriser une meilleure coordination entre les acteurs compétents et améliorer leur formation ; et les journalistes, les médias et d’autres acteurs qui communiquent des informations seront formés afin qu’ils puissent rendre compte avec exactitude et de manière éthique des conditions de travail et de la traite d’êtres humains dans le Pacifique.
Ce projet est cofinancé par le projet PX.0259 « Normes de travail sur les bateaux de pêche », qui bénéficie d’un financement de la Nouvelle-Zélande.