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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Renforcement de la collecte de données centralisée à l’échelle nationale sur la traite des personnes au Viet Nam
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Date de début
2023
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Date de fin
2025
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Statut du projet
Actif
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Type de projet
Protection et assistance aux migrants vulnérables
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Budget Amount (USD)
300000.00
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Couverture
National
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Année
2022
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IDF Region
Asie et Océanie
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Prima ID
VN10P0532
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Projet ID
PX.0340
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Viet Nam
Au cours des dernières décennies, la traite d’êtres humains est devenue une question pressante en matière de droits de l’homme et de sécurité au Viet Nam et dans la région alentour. Le Gouvernement du Viet Nam déploie de vastes efforts pour améliorer la prévention de la traite des personnes et la poursuite des auteurs de ce crime, qui, selon lui, entrave de façon significative les migrations sûres et respectueuses de la dignité humaine, ainsi que la sécurité et le bien-être du pays en général. Il a notamment créé un cadre législatif sur la question (la loi de 2011 sur la prévention et la lutte contre la traite d’êtres humains), engagé davantage de poursuites contre les trafiquants, augmenté les budgets alloués à l’application des lois et à l’aide aux victimes, et mené des campagnes de sensibilisation massives auprès des communautés identifiées comme étant les plus vulnérables. Cependant, les mesures législatives n’ont pas permis, à ce jour, d’assurer une collecte, une gestion et une communication cohérentes de données sur la traite des personnes. Des avancées ont néanmoins été enregistrées dans ce domaine, puisque le Gouvernement a chargé le Ministère de la sécurité publique de coordonner la création et la gestion d’une base de données nationale sur la traite des personnes.
C’est dans ce contexte que ce projet vise, en étroite collaboration avec le Ministère de la sécurité publique, à renforcer la prise de décisions fondées sur des éléments factuels et des données par le Gouvernement du Viet Nam afin de lutter efficacement contre la traite des personnes dans tout le pays. À cette fin, il veillera à ce que les organismes vietnamiens chargés de lutter contre la traite (le Ministère de la sécurité publique, la Cour populaire suprême, le Parquet populaire suprême, le Ministère du travail, des invalides de guerre et des affaires sociales et le service des gardes frontière) adoptent des processus de collecte, de gestion et de communication de données plus normalisés et soucieux des questions de genre afin de produire de nouvelles données et de nouveaux rapports sur la traite des personnes. Pour atteindre ces objectifs, le projet prévoit d’appuyer le développement des capacités du Ministère de la sécurité publique et des organismes concernés par la lutte contre la traite (notamment le Parquet populaire suprême, la Cour populaire suprême, le service des gardes frontière et le Ministère du travail, des invalides de guerre et des affaires sociales) en vue de la mise en place et de l’utilisation de méthodes et d’outils normalisés permettant de produire des informations structurées et de communiquer efficacement sur la traite des personnes. En outre, des plateformes de coordination seront mises à la disposition de ces entités pour leur permettre d’avoir des discussions, de recueillir des informations et d’échanger des réflexions sur la valeur ajoutée de processus de données structurés appelés à être institutionnalisés et utilisés de manière durable dans le domaine de la lutte contre la traite.