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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Promouvoir la protection des travailleurs domestiques et des victimes de la traite au Cameroun (phase II)
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Migration de main-d’œuvre
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Budget Amount (USD)
200000.00
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Couverture
National
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IDF Region
Afrique
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Projet ID
LM.0214
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Cameroun
Ce projet entend appuyer les efforts déployés par le Gouvernement du Cameroun pour renforcer la protection des travailleurs domestiques et des victimes de la traite dans le pays. S’inscrivant dans le prolongement de la phase I, il s’articule autour de trois composantes : i) renforcer le cadre juridique national de protection des travailleurs domestiques, conformément aux normes énoncées dans la Convention n°189 de l’OIT sur les travailleurs domestiques ; ii) diffuser la loi anti-traite adoptée en décembre 2010 et en améliorer la compréhension ; iii) instituer un système d’orientation pour les victimes de la traite, y compris les travailleurs domestiques victimes de ce fléau ; et iv) sensibiliser les autorités et les communautés locales aux droits des travailleurs domestiques et à la loi anti-traite. A l’achèvement du projet, le cadre juridique national concernant le travail domestique et la traite des personnes devra normalement avoir été renforcé, être mieux connu et être appliqué. Les travailleurs domestiques et les victimes de la traite connaîtront de mieux en mieux leurs droits, et les autorités nationales et locales seront mieux à même de leur apporter l’aide requise.