Ce projet a permis de lancer des activités connexes au Bangladesh et à Sri Lanka dans les domaines suivants : 1) renforcement de la capacité du Gouvernement à concevoir des politiques de migration de main-d’œuvre et des activités opérationnelles ; 2) renforcement de la capacité des ONG au Bangladesh à participer à des mesures d’aide aux travailleurs émigrés ; 3) renforcement de la capacité du Gouvernement à concevoir des programmes visant à associer davantage la diaspora au développement local ; et, 4) renforcement de la capacité du Gouvernement à lutter contre la fraude en matière migratoire, y compris la traite d’êtres humains. Le projet a débouché sur l’élaboration et l’expérimentation de modules de formation à l’intention de travailleurs migrants (conjointement avec des ONG clés), sur la création de plans précis et sur l’expérimentation d’interventions initiales visant à renforcer les systèmes informatiques permettant d’assurer la gestion des migrations dans certains bureaux gouvernementaux, et sur l’élaboration et l’expérimentation de modules de formation à l’intention des fonctionnaires gouvernementaux qui s’occupent de la détection des fraudes en matière migratoire. A Sri Lanka, ces mesures devaient contribuer au processus de planification gouvernementale dans la perspective de l’établissement d’un plan d’action relatif à la mise en œuvre des recommandations du Groupe de travail de haut niveau. Toutes les interventions devaient sous-tendre l’élaboration ultérieure de projets globaux et de longue haleine dans le domaine du renforcement des capacités et de la fourniture de services aux migrants.