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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Mesures visant à répondre à la vulnérabilité des migrants au paludisme et à comprendre les migrations et l’épidémiologie du paludisme résistant à l’artémisinine dans la province de Binh Phuoc (Viet Nam)
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Promotion de la santé et assistance sanitaire aux migrants
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Budget Amount (USD)
100000.00
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Couverture
National
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IDF Region
Asie et Océanie
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Prima ID
VN10P0001
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Projet ID
MA.0318
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Viet Nam
Les progrès réalisés en vue d’éradiquer le paludisme dans la sous région du Grand Mékong sont menacés par l’apparition de cas de paludisme à Plasmodium falciparum résistant à l’artémisinine, en particulier dans les zones frontalières. En raison des taux élevés de mobilité et de migration dans cette région, il est encore plus difficile d’enrayer l’augmentation de la résistance à l’artémisinine, étant donné que des recherches ont montré que les populations mobiles risquent davantage que d’autres de contracter et de propager le paludisme.
Des systèmes de collecte de données inadéquats et la difficulté de recueillir des données sur les populations mobiles dans la sous-région du Grand Mékong se sont traduits par une insuffisance de données complètes sur la mobilité et, de ce fait, par un risque de vulnérabilité au paludisme plus grande dans certaines zones. En définitive, cette situation entrave les efforts de prévention, de traitement et de surveillance du paludisme au Viet Nam, où il n’existe aucune surveillance de la mobilité humaine en lien avec la résistance à l’artémisinine.
Le projet propose d’améliorer la base de connaissances sur les vulnérabilités au paludisme et la résistance à l’artémisinine dans le contexte de la mobilité humaine dans la province de Binh Phuoc, au Viet Nam. Une évaluation approfondie des incidences de la migration et de la mobilité des populations sera effectuée dans des zones d’endémie palustre, et des recommandations seront formulées en vue d’interventions ciblées, axées sur le lien entre la mobilité et la propagation du paludisme. Les conclusions seront communiquées à des acteurs clés au niveau central et provincial. L’OIM collaborera étroitement avec des spécialistes de la lutte contre le paludisme de l’OMS, au bureau de l’OMS au Viet Nam, car cette organisation cofinance l’enquête. L’Institut national de paludologie, parasitologie et entomologie, partenaire de ce projet, a demandé des crédits supplémentaires au Fonds mondial pour poursuivre la recherche sur le paludisme.