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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Soutien à la gendarmerie turque aux fins de renforcement des capacités du Département de lutte contre la traite et le trafic illicite
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Protection et assistance aux migrants vulnérables
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Budget Amount (USD)
200000.00
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Couverture
National
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IDF Region
Europe
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Prima ID
TR10P0003
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Projet ID
PX.0011
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Türkiye
En 2016, le Commandement général de la gendarmerie turque a institué le Département de lutte contre la traite et le trafic illicite, sous l’autorité du Ministère de l’intérieur, pour faire face aux risques accrus de traite et de trafic illicite posés par la crise syrienne et d’autres conflits connexes dans la région avoisinant la Turquie. Malgré l’aide humanitaire de grande ampleur fournie ces dernières années aux réfugiés en Turquie, la question de la traite d’êtres humains a, dans une large mesure, été ignorée à ce jour, et l’absence d’un cadre global d’identification à l’échelle nationale expose les groupes vulnérables, tels que les femmes, les enfants et les réfugiés, à un risque d’exploitation.
Pour remédier à ces lacunes, le projet proposé vise à renforcer les capacités du nouveau département de lutte contre la traite et le trafic illicite de la gendarmerie pour qu’il puisse combattre ces fléaux et identifier, protéger et aider tous les migrants vulnérables, y compris les victimes de la traite. A cette fin, un programme de formation de formateurs sera élaboré et mis en place, avant d’être intégré dans le programme de formation interne de la gendarmerie et mis en œuvre, dans les délais impartis au projet, à l’intention des agents de première ligne déployés dans tout le pays ; une formation aux techniques d’interrogation et à l’identification des victimes sera organisée ; et un forum interinstitutions consacré à la traite, auquel participeront la Direction générale de la gestion des migrations, le Ministère de la justice et des ONG, sera facilité pour consolider et renforcer le rôle de la gendarmerie dans le mécanisme national d’orientation. Le projet appuiera ainsi les efforts déployés par la Turquie pour assurer la bonne mise en œuvre du mécanisme national d’orientation et de la réglementation de 2016 relative à la lutte contre la traite d’êtres humains et à la protection des victimes, ainsi que sa mise en conformité avec la Convention du Conseil de l’Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains.