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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Un nouveau financement permet à l’OIM de poursuivre ses efforts de secours du reste des migrants bloqués et des blessés de guerre à Misrata
Tandis que les migrants secourus par le bateau
affrété par l’OIM dans la ville libyenne
assiégée de Misrata sont aujourd’hui
transportés en bus depuis Benghazi vers Saloum, des efforts
sont en cours afin de démarrer une troisième mission
d’évacuation de plusieurs milliers de migrants
toujours bloqués dans la ville.
Un nouveau financement du Département britannique pour le
développement international (DFID) de 2,4 millions de
dollars, en sus de nouvelles promesses de dons, permettra à
l'OIM de poursuivre ses efforts visant à secourir les 5 000
migrants toujours bloqués à Misrata.
Une troisième mission pourrait partir pour Misrata plus
tard aujourd'hui.
Les migrants à Misrata, dont bon nombre campe dehors dans
les environs du port depuis les premiers jours de la crise
libyenne, tentent de survivre dans des conditions extrêmement
difficiles. Vivant essentiellement dehors, sans protection
excepté quelques bâches en plastique ou abri de
fortune et sans accès aux installations sanitaires, à
l'eau potable ou à la nourriture, leur condition physique se
détériore de jour en jour.
« L'absence de structures sanitaires et les risques
liés, les bombardements et tirs d’artillerie sont
leurs plus grosses menaces de mort », déclare Jeremy
Haslam, responsable de l’opération de l'OIM visant
à secourir les migrants bloqués lors des deux
missions successives en bateau. « L'aide alimentaire de la
part de la communauté libyenne aux alentours diminue avec le
temps car les ressources dans la ville en général se
sont épuisées. Nous devons parvenir jusqu'à
eux rapidement car ils ne tiendront plus longtemps. »
La deuxième mission de l'OIM à Misrata s’est
achevée lundi soir, par l’arrivée du bateau
affrété par l'Organisation, à Benghazi, avec
931 évacués à bord, de 21 nationalités
différentes.
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"">Site internet sur la crise migratoire en Libye
Un total de 72 Libyens était à bord, dont 30
personnes nécessitant une hospitalisation. Il s'agissait de
blessés de guerre dans la plupart des cas. A leur
arrivée, l'OIM et les équipes du Croissant Rouge
libyen étaient prêts à les emmener vers divers
hôpitaux de Benghazi.
Contrairement à certaines informations diffusées
plus tôt, 650 migrants à bord que l'on croyait
ghanéens se sont avérés être originaires
de plusieurs pays d'Afrique de l’Ouest. Croyant à tort
que seuls les Ghanéens seraient évacués par le
bateau de l'OIM, bon nombre avait déclaré être
originaire de ce pays d'Afrique de l'Ouest. Tous les migrants
seront aujourd’hui accompagnés à Saloum,
à la frontière égyptienne, d'où ils
seront plus tard rapatriés vers leurs pays d'origine par
l'OIM.
Bien que l'OIM ait reçu des fonds pour aider aux
évacuations depuis Misrata, l'Organisation n’a plus le
financement nécessaire pour mener à bien ses
opérations ailleurs en Libye, en Egypte, au Tchad et au
Niger.
L'Organisation puise dans ses maigres réserves pour
continuer à aider les individus qui fuient les affrontements
en Libye et qui ont désespérément besoin de
rentrer chez eux.
«Le financement britannique nous permettra
d’affréter des bateaux pour transporter des migrants
de Misrata vers Benghazi, mais nous n'avons plus de fonds pour le
reste de nos opérations », déclare Mohammed
Abdiker, Directeur des opérations d'urgence de l'OIM.
« Environ 20 000 Tchadiens, dont des femmes et des
enfants, bloqués à l’est de la Libye, et 30 000
autres à Ghatroun, sont dans une situation
désespérée. Des milliers d'autres migrants
à Tripoli ont besoin d’être
évacués, sans oublier le nombre croissant de migrants
qui arrivent aux frontières avec la Tunisie et l'Egypte et
ceux qui se rendent au Niger et au Tchad et qui nécessitent
une aide. Malgré plusieurs demandes, on retourne à la
case départ en termes de financement. »
Le manque de fonds pour les évacuations massives commence
à peser sur les migrants qui, après plusieurs jours
de souffrance, doivent attendre d'être rapatriés chez
eux. Leur frustration pose désormais des problèmes de
sécurité pour le personnel de l'OIM à la
frontière entre la Libye et la Tunisie. En outre, avec
l'arrivée des évacués de Misrata à
Saloum, la frustration ne fera que s'accroître à la
frontière entre la Libye et l'Egypte.
Plus de 543 500 personnes ont désormais fui la violence
en Libye. Depuis le début de ses opérations, l'OIM et
ses partenaires ont aidé 114 300 personnes à
retourner dans leurs pays d'origine, au 17 avril.
Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Jemini Pandya
IOM Geneva
Tel: +41 22 717 94867
+41 79 217 3374
E-mail:
"mailto:jpandya@iom.int">jpandya@iom.int
ou
Jean Philippe Chauzy
Tel: +41 22 717 9361
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