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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- 2030 AGENDA
Un nouveau financement permet de continuer à offrir des emplois aux personnes vulnérables en Haïti
Un nouveau financent de 820 000 dollars permettra à l'OIM en
Haïti de poursuivre son aide aux personnes touchées ou
infectées par le VIH/SIDA jusqu'à fin 2011.
Le financement fourni par le Plan d'urgence du Président
des Etats-Unis pour la lutte contre le SIDA (PEPFAR), permettra de
proposer des offres d'emploi à la population haïtienne
vulnérable.
La main-d'uvre employée pour des projets
financés par le PEPFAR comprend un minimum de 65% de
travailleurs soit touchés, soit infectés par le
VIH/SIDA. Les bureaux de l'OIM à travers le pays
coopèrent avec leurs partenaires sanitaires afin d'organiser
des ateliers informels fréquents sur le HIV/SIDA (au moins
toutes les deux semaines), afin de sensibiliser et
d’instruire la population sur les risques et les
réalités de la transmission du virus et de
débattre des idées fausses sur le virus. Les ateliers
servent aussi de forums pour discuter d'autres sujets ayant trait
à la santé.
Tout en contribuant au développement durable dans leurs
communautés, les travailleurs gagnent également un
petit salaire. Les emplois à court-terme sont une importante
source de revenu pour les familles qui ont du mal à subvenir
aux besoins nutritionnels, s'occuper des orphelins et des enfants
vulnérables, ainsi que des malades du VIH/SIDA. 1 858
emplois ont ainsi été créés par le
biais du financement du PEPFAR, générant ainsi 16 782
jours de travail depuis le séisme de janvier 2010.
Les participants aux activités communautaires
développent souvent des compétences professionnelles
et de l'expérience dans les secteurs de la
maçonnerie, de la menuiserie, de l'agriculture et de la
protection de l'environnement qui pourront leur servir pour de
prochains emplois. Les enquêtes de terrain ont
révélé que les travailleurs mettent souvent de
côté une partie de leurs salaires pour investir dans
de petites entreprises, des parcelles agricoles et dans
l'éducation, qui ont des répercussions à long
terme.
Les projets du PEPFAR, et les ateliers sur le HIV/SIDA qui les
accompagnent, sont des catalyseurs dans la suppression des
stigmates qui entourent le virus. Les membres de la
société séropositifs qui sont
généralement stigmatisés se retrouvent
désormais au premier plan du développement et de la
croissance par le biais de ces projets.
Les projets financés par le PEPFAR sont menés dans
le cadre du Programme de Revitalisation et de Promotion de
l'Entente et de la Paix (PREPEP).
Le PREPEP coopère avec les groupes communautaires dans
les zones marginalisées et sujettes au conflit afin
d’identifier des projets à petit échelle et
à impact élevé visant à faire
participer un échantillon de la communauté à
sa propre stabilisation et amélioration. Les projets
comprennent ainsi que la construction d’écoles et de
cliniques, de puits et de latrines, de systèmes d'irrigation
et d'évacuation des eaux, de routes et de ponts, de
parcelles de terrain familiales, de structures de conservation des
sols par le plantage d’arbres, de mises en place de rigoles
et d’autres infrastructures publiques.
L'OIM PREPEP travaille en collaboration avec Family Health
International, les services du Secours catholique, Partners in
Health et la Fondation Ester Beaucicault Stalinasse dans les trois
zones ciblées des Cayes, de Saint Marc et de Cap
Haïtien. Le travail en cours permet de renforcer trois
partenariats existants et de développer de nouveaux
partenariats avec les associations locales telles que ASSON
(Association nationale de solidarité) et APVIH (Association
des malades du VIH/SIDA) aux Cayes et FOSREF (Fondation pour la
santé reproductrice et l'éducation familiale)
à Saint-Marc.
Le travail se poursuivra afin de développer la
capacité de ces groupes sanitaires locaux et internationaux
afin d’instruire et de soutenir les populations à
risques et de lutter contre la transmission du VIH/SIDA. L'OIM
s’est réunie avec World Concern afin d'étendre
le programme du PEPFAR à Petit-Goâve, plus tard dans
l'année.
A ce jour, le PEPFAR a aidé à financer le PREPEP
à hauteur de 4,2 millions de dollars. Un financement
supplémentaire permettra d’étendre sa
portée et d'approfondir l’impact des projets
existants, en employant les Haïtiens plus à risques, en
satisfaisant les besoins supplémentaires en infrastructures,
en créant plus d'opportunités économiques
à long terme et en encourageant la cohésion
communautaire, avec le soutien du gouvernement.
Pour plus d'informations sur le PEPFAR et le PREPEP en
Haïti, veuillez contacter:
Hans Goertz
Tel: + 509-3701-7828
E-mail:
"mailto:hgoertz@iom.int">hgoertz@iom.int
ou
Leonard Doyle
Tel: +509 3702 5066
E-mail:
"mailto:ldoyle@iom.int">ldoyle@iom.int