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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Renforcer la coopération mondiale est essentiel pour faire face aux migrations induites par le climat : OIM
Nairobi/ Genève, 26 Février – L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) appelle à renforcer la coopération mondiale pour faire face aux migrations induites par le climat, tandis que les dirigeants mondiaux se réunissent pour la sixième Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (ANUE).
« Alors que les dirigeants et responsables se réunissent à l’occasion de l’ANUE pour définir le programme environnemental mondial, n’oublions pas la détresse de ceux qui sont contraints de se déplacer en raison de facteurs climatiques et environnementaux », a déclaré le chef du personnel de l’OIM, Mohammed Abdiker.
On estime que jusqu’à 216 millions de personnes pour devenir des migrants climatiques internes d’ici à 2050 si aucune mesure climatique spécifique n’est prise. Avec des actions concrètes, collectives et opportunes, ce chiffre pour être réduit de 80 pour cent. Rien qu’en 2022, près de 32 millions de nouveaux déplacements internes étaient dus à des aléas climatiques, soulignant la nécessite croissante de s’attaquer à ce problème.
« Par le dialogue et la coopération, nous pouvons renforcer notre engagement et notre action pour faire face à la mobilité climatique », a fait remarquer M. Abdiker.
Aucune région du monde n’est épargnée par les impacts négatifs des changements climatiques, qu’ils soient ressentis directement ou indirectement. Les pays les moins avancés, qui y contribuent le moins, sont les plus touchés.
Tandis que l’ANUE de cette année se concentre sur le multilatéralisme pour faire face aux changements climatiques, il est essentiel de reconnaître la migration climatique comme une tendance croissante et une stratégie d’adaptation et de veiller à ce que ceux qui sont contraints de se déplacer soient protégés, si nous voulons nous adapter à ce paysage en mutation.
L’OIM organisera, en partenariat avec le gouvernement d’Ouganda, un dialogue politique de haut niveau le 26 février, afin de réunir les représentants des régions d’Afrique, du Pacifique et des Caraïbes pour partager les meilleures pratiques et cadres régionaux en matière de mobilité climatique, afin de faire face aux conséquences des changements climatiques sur la mobilité humaine.
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Pour les demandes de renseignements des médias et pour plus d’informations, veuillez contacter :
À Nairobi, Yvonne Ndege, ronairobi@iom.int
À Genève, Chloé Lavau, clavau@iom.int