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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Réalisation par l’OIM d’évaluations clés aux frontières en Amérique centrale
Costa Rica - Le Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité (PRCLC) du Ministère canadien des affaires étrangères fournit à l’OIM des fonds d’un montant de 500 000 dollars canadiens (510 000 dollars E.-U.) pour réaliser deux évaluations clés le long des frontières en Amérique centrale, en appui à la mise en œuvre de la stratégie de sécurité en Amérique centrale proposée par le Système d’intégration de l’Amérique centrale.
Souvent, en Amérique centrale, les frontières ne sont délimitées que par une rivière, une chaîne montagneuse reculée ou une forêt dense. Cette situation a donné lieu à de nombreux points passages non autorisés, où diverses activités illégales sont menées, dont la traite d’êtres humains, le trafic illicite de migrants, le trafic de drogue et la circulation d’armes.
Selon des estimations, le nombre de migrants qui passent chaque année par l’Amérique centrale pour se rendre au Mexique et poursuivre leur route vers le nord peut atteindre un demi-million. Lorsqu’ils traversent les frontières, ils risquent d’être victimes d’extorsions, de violences, d’arrestations, de viols, d’enlèvements et de meurtres.
Bien que les Etats-Unis, le Canada et l’Espagne soient les principales destinations des migrants qui voyagent à travers l’Amérique centrale, un nombre croissant de personnes migrent aussi avec l’intention de rester dans la région.
« Les gouvernements de la région souffrent d’un manque d’informations sur la situation aux points de passage des frontières en Amérique centrale et ont besoin de recommandations claires sur les améliorations à apporter » a déclaré Pier Rossi-Longhi, spécialiste régional de l’OIM pour la gestion intégrée des frontières en Amérique latine et aux Caraïbes.
Pour remédier à ces problèmes, l’OIM réalisera une évaluation des besoins afin de définir la manière de renforcer la sécurité des frontières terrestres, maritimes et de l’espace aérien du Guatemala, du Honduras, du Salvador, du Nicaragua, du Costa Rica, de Panama et du Belize. Elle collaborera avec ses homologues gouvernementaux des services des migrations, de police et des douanes pour effectuer l’étude.
« Ces analyses permettront de fournir des outils pertinents qui renforceront les capacités des agents des services des migrations, de police et des douanes afin d’améliorer la gestion et la sécurité des frontières, au bénéfice de la population d’Amérique centrale, en particulier des migrants et de leur famille », a déclaré Erick Vilchez, Directeur de la sécurité démocratique au Secrétariat général du Système d’intégration de l’Amérique centrale (SG-SICA.)
L’OIM analysera aussi les passages de frontières non contrôlés dans toute la région afin de déterminer les points vulnérables et de cerner les besoins en équipements et infrastructures en vue d’améliorer la surveillance.
« Ces évaluations seront primordiales pour définir les étapes concrètes qui permettront d’améliorer la sécurité aux frontières et de prévenir les crimes à l’encontre des migrants, tels que le trafic d’êtres humains et autres actes de violence, » a déclaré Rossi-Longhi.
L’OIM collaborera étroitement avec le Système d’intégration de l’Amérique centrale (SICA), l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et la Commission centraméricaine des directeurs de la migration (OCAM) pour mener à bien ces activités.
Pour plus d’informations, prière de contacter
Dana Graber-Ladek
l’OIM Costa Rica
Tél. : + 506 22 12 53 10
Courriel : dgraber@iom.int