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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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A Maurice, l’OIM organise le dialogue de l’Afrique australe sur la gestion des migrations
L’OIM et la présidence mauricienne actuelle du Forum
mondial sur la migration et le développement (GFMD)
organiseront, la semaine prochaine, dans le cadre du dialogue de
l’Afrique australe sur la migration (MIDSA), une
réunion technique sur l’augmentation du volume de la
migration de main-d’uvre dans la région, en vue
du développement socioéconomique au sein de la
Communauté de développement des Etats de
l’Afrique australe (SADC).
L’évènement de deux jours et demi, qui
s’ouvrira le 27 août à Balaclava, à
Maurice, réunira les secrétaires permanents des Etats
de la SADC afin de débattre de solutions pour optimiser les
avantages de la migration dans la région et ailleurs.
La réunion à Maurice traitera de sujets tels que
la création de cadres juridiques et de politiques sur la
coopération régionale et sur les problèmes de
gestion de la migration de main-d’uvre dans la
région de la SADC.
Les participants mettront également en avant des
idées concrètes pour relever les défis de la
collecte de données migratoires fiables, de leur
interprétation et de leur utilisation dans la région,
et se centreront sur les meilleures pratiques régionales et
bilatérales en matière de gestion de la
mobilité humaine et de la migration de
main-d’uvre, notamment pour favoriser la migration de
main-d’uvre circulaire, en particulier dans un contexte
de chômage des jeunes et de pénurie de personnel
compétent.
« La MIDSA a permis de créer une plateforme pour
débattre, de manière informelle, de questions
liées à la migration, sensibilisant ainsi ses
participants aux défis et aux meilleures pratiques dans la
gestion des migrations, dans des domaines tels que la migration et
la santé, la traite, la gestion des frontières et
l’aide à la circulation des personnes. Cette
conférence montre qu’il y a un engagement à
prendre des mesures », déclare Bernardo Mariano,
Directeur régional de l’OIM pour l’Afrique
australe et l’Afrique de l’Est.
La MIDSA est un processus consultatif destiné aux Etats
membres de la SADC (Angola, Botswana, République
démocratique du Congo, Lesotho, Madagascar, Malawi, Maurice,
Mozambique, Namibie, Seychelles, Afrique du Sud, Swaziland,
Tanzanie, Zambie et Zimbabwe) qui a débuté en 1999
pour leur permettre d’échanger leurs opinions sur les
questions migratoires de manière informelle.
Tous les Etats de la SADC sont aujourd’hui exposés
à la migration en tant que pays d’origine, de transit
ou de destination. Bien que certains mouvements migratoires soient
liés aux conflits et à
l’insécurité, la plupart ont lieu pour des
raisons économiques et touchent des personnes qui
recherchent un emploi et une vie meilleure.
Même s'il existe des inquiétudes et des
problèmes majeurs en termes politiques, notamment en
matière de protection des droits des travailleurs migrants
et de réponses efficaces à la migration
irrégulière, les flux de migration de
main-d’uvre bien gérés sont
bénéfiques à la fois pour les migrants et pour
les Etats.
Les rapatriements de fonds peuvent également contribuer
de manière considérable au développement
national dans les pays d'origine. Ces rapatriements
soulèvent des questions s'agissant notamment de la
réduction des coûts de transfert et de l'incitation
à utiliser ce canal pour le développement
durable.
« Il est nécessaire que les Etats de la SADC
collaborent, d’une part pour mettre à disposition des
travailleurs migrants des voies de transfert légales, et
d’autre part, pour harmoniser la politique et la
législation sur l'immigration à travers la
région de la SADC », fait remarquer Bernardo
Mariano.
Pour plus d'informations, veuillez contacter
Devi Seetharam
OIM Maurice
Tel. +230 213 3304
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"mailto:dseetharam@iom.int">dseetharam@iom.int