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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Lomé accueille la formation entre pairs sur la mobilité humaine dans le contexte du changement climatique
Lomé - du 17 au 19 septembre 2024, l’hôtel Sancta Maria a abrité l’atelier de renforcement des capacités initié par l’Organisation Internationale pour les Migration (OIM), visant une meilleure prise en compte de la mobilité humaine dans les documents de planification, notamment les Plans Nationaux d’Adaptation (PNA) et les Contributions Déterminées au niveau National (CDN) entre des Parties d'Afrique de l'Ouest et du Centre.
Avec pour objectif principal de fournir aux négociateurs et diplomates régionaux impliqués des informations relatives aux liens entre le changement climatique et la mobilité humaine, cet atelier a constitué une véritable plateforme d'apprentissage entre pairs et a permis aux participants de prendre connaissance des initiatives et projets de leurs homologues dans différents contextes nationaux. Cet ensemble d’acquisitions cognitives a outillé les participants en vue d’une meilleure intégration de la mobilité humaine dans leurs positions et engagements officiels de la 29ème Conférences des Parties (COP 29), du processus de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), mais aussi dans leurs PNA
Outre l’appui de l’OIM, les représentants des administrations publiques en charge des questions climatiques et des migrations des pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre ont bénéficié de l’assistance d’experts des organisations telles que le Centre régional de coordination pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre de la CCNUCC, le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et du Sahel (UNOWAS), le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre et de certaines organisations de la société civile (OSC).
Les thématiques abordées au cours de la première journée des travaux ont permis aux participants de s’accorder sur une compréhension commune de la mobilité humaine en contexte de changement climatique, des documents de planifications et des cadres de concertations y afférents. Lors de la deuxième session de l’atelier, les possibilités d’intégration de la mobilité humaine dans les discussions de la CCNUCC au cours de la COP 29, qui se tiendra au mois de novembre 2024 à Bakou en Azerbaïdjan, ont été examinées. En outre, les opportunités et les points d'entrée, en vue d’intégrer la mobilité humaine dans les processus en cours (PNA/CDN) dans les pays cibles, ont été recensés. La dernière journée a été relative à l’identification des défis et opportunités des pays, à la définition des priorités et des prochaines étapes en prélude à la COP 29 et au nouveau cycle des CDN qui débute en 2025.
Afin de mieux consolider les connaissances et compétences acquises, une simulation de négociation a été effectuée dans le but de permettre aux participants de se projeter dans un scénario réel. Les organisateurs ont invité les participants à faire œuvre utile des connaissances acquises durant la formation de Lomé pour intégrer dans leurs déclarations respectives à la COP 29, la question de la mobilité humaine dans le contexte du changement climatique. Ils les ont invités à travailler en synergie afin de faire entendre des voix concordantes au sein des instances telles que la COP 29 qui pourrait leur offrir de nombreuses opportunités financières et techniques. Dans cette perspective, ils leur ont suggéré, entre autres, de faire le plaidoyer auprès des dirigeants n’ayant pas encore signé la Déclaration Ministérielle de Kampala sur la Migration, l’Environnement et le Changement Climatique (KDMECC-AFRICA). Les partenaires, au premier rang desquels l’OIM et la NDC Partnership, ont réitéré leur entière disponibilité à accompagner les pays dans la révision de leurs PNA et CDN.
Telle est la quintessence des travaux de l’atelier de Lomé, qui a permis de préparer au mieux les prochains représentants des sous-régions d’Afrique Centrale et de l’Ouest à la COP 29.
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Pour plus d’informations, veuillez contacter :
- MAURICE Charles Quentin, OIM Cameroun, cmaurice@iom.int
- Georges Elisée AFANE AFANE, OIM Togo, jioafane@yahoo.fr