-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L’OIM salue l’intégration des migrations dans le texte de Rio+20
L’OIM salue l’intégration des migrations dans le
texte final adopté par la Conférence des Nations
Unies sur le développement durable Rio+20.
Dans son discours à Rio, le Directeur
général de l’OIM, William Lacy Swing, a fait
remarquer que les migrations étaient une grande tendance du
21ème siècle, alors qu’une personne sur sept
dans le monde est un migrant.
« Les rapatriements de fonds représentent le double
de l’aide officielle au développement et
équivalent aux investissements directs étrangers. Si
elles sont bien gérées, les migrations sont donc un
instrument efficace pour promouvoir le développement durable
», a-t-il déclaré.
« Les changements environnementaux et climatiques modifieront
les schémas migratoires tels que nous les connaissons et les
migrations climatiques sont déjà l’un des
défis majeurs auxquels les Etats sont de plus en plus
confrontés », a-t-il ajouté.
« La Conférence de Rio fut une opportunité
pour réfléchir et se demander si nous engageons
suffisamment de ressources pour faire face à cet immense
défi. Je suis particulièrement satisfait que les
Etats reconnaissent le lien important entre le respect des droits
des migrants d’une part, et le travail décent et la
protection sociale d’autre part », a-t-il
confié.
Le texte de Rio+20 appelle les Etats signataires à «
promouvoir et défendre efficacement les droits de
l’homme et les libertés fondamentales de tous les
migrants, en particulier les femmes et les enfants, quel
qu’en soit le statut migratoire. Il appelle à traiter
la question des migrations internationales par la voie de la
coopération et du dialogue au plan international,
régional ou bilatéral et d’une manière
globale et équilibrée, en tenant compte du rôle
et des responsabilités des pays d’origine, de transit
et de destination dans la promotion et la défense des droits
de l’homme de tous les migrants et en évitant les
démarches qui pourraient rendre ces derniers encore plus
vulnérables. »
Il engage également les signataires à «
prendre systématiquement en considération les
tendances et les projections démographiques dans les
stratégies et politiques nationales de développement
rural et urbain » en ajoutant que « grâce
à une planification tournée vers l’avenir, nous
pourrons saisir les occasions et relever les défis
liés aux changements démographiques et aux
migrations. » Il reconnaît aussi le rôle des
migrants en tant qu’importants acteurs du
développement durable.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Lars Lonnback
Tel. +41.797427490
Email :
"mailto:llonnback@iom.int">llonnback@iom.int