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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM renforce les capacités en matière de santé publique et de gestion des frontières dans la région touchée par Ebola
Suisse - L’OIM prévoit d’intensifier son aide pour renforcer la capacité transfrontalière en matière de santé publique et les systèmes de migration sûre en Afrique de l’Ouest afin de contenir Ebola et d’autres maladies infectieuses.
La prévention de la transmission transfrontalière a été identifiée comme cruciale pour éradiquer l’épidémie actuelle du virus Ebola. Le Cadre stratégique de santé frontalière de l’OIM pour le virus Ebola en Afrique de l’Ouest vise à rassembler les pays de la région pour atteindre cet objectif.
De retour d’une récente mission d’évaluation dans la région, Mohammed Abdiker, Directeur des opérations et des situations d’urgence de l’OIM a déclaré : « A travers toute la région ouest-africaine touchée par Ebola, l’OIM, ses partenaires et les autorités régionales ont déjà fait de gros progrès en ce sens. Nous avons hâte d’étendre nos opérations. »
La plupart des pratiques de santé publique bien établies associées à la gestion des frontières reposent sur la réduction de la propagation des maladies contagieuses. Toutefois, les mécanismes de vérification traditionnelle des dossiers médicaux, de l’historique de l’exposition aux risques et la détection des symptômes sont insuffisants face à l’existence d’un commerce transfrontalier illégal, de communautés transnationales et frontières poreuses.
La rapidité et la facilité à voyager aujourd’hui constituent un nouveau défi pour le contrôle des maladies transfrontalières et nécessitent l’adoption de nouvelles réponses innovantes et systémiques plus larges.
La mobilité humaine régionale peut perpétuer la transmission transfrontalière alors que dans le même temps, la réouverture des frontières est essentielle à la résilience et à une éventuelle reprise économique des pays touchés.
L’approche de l’OIM en matière de santé et de gestion des frontières, adaptée au contexte d’Ebola, vise à accroître la prévention, la détection et le traitement des maladies infectieuses dans les lieux d’origine, de transit, de destination et de retour.
Cependant, cette approche n’est pas uniquement centrée sur les points de passage internationaux (aéroports, ports et frontières terrestres), mais également sur les itinéraires de voyage et les zones à risque où se regroupent les personnes. La surveillance par le biais de systèmes de santé locaux dans les communautés locales et dans les lieux de regroupement tels que les marchés et les lieux de travail est essentielle, tout comme la communication avec les migrants et les voyageurs eux-mêmes.
Une bonne gestion des frontières tenant compte des besoins de santé peut faciliter l’accès aux services de santé des deux côtes de la frontière, tout en garantissant qu’il n’existe aucun risque de transmission.
Déclenché par un enfant dans l’arrière-pays guinéen en décembre 2013, le virus Ebola s’est rapidement propagé dans un contexte de mobilité de population élevée, d’urbanisation, de pratiques culturelles d’inhumation peu sûres et de systèmes de santé affaiblis.
Depuis septembre 2014, l’OIM œuvre en collaboration étroite avec les partenaires en Afrique de l’Ouest afin de renforcer la capacité des structures nationales de santé et de gestion des frontières, en vue de prévenir et de contenir la transmission d’Ebola à l’intérieur des frontières.
Grâce à l’amélioration des contrôles sanitaires et aux systèmes de surveillance aux frontières, à la promotion de comportements sains, à l’isolement des cas et au renforcement des capacités de renvoi, des progrès considérables ont été accomplis.
« Les systèmes solides de santé publique et de migration sûre sont essentiels en Afrique de l’Ouest », a déclaré Davide Mosca, Directeur de la Division de la santé migratoire à l’OIM. « Ils contribueront à empêcher que le virus Ebola et d’autres maladies infectieuses représentant un problème de santé publique ne deviennent de nouveau un fléau à travers la région. »
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Bill Hyde
siège de l’OIM
Tel: + 41 22 717- 9112
Email: bhyde@iom.int