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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM rapatrie des migrants guinéens bloqués en Libye
Libya - Hier, l’OIM a organisé un vol de rapatriement volontaire depuis la Libye vers la Guinée pour évacuer 173 migrants guinées bloqués.
L’opération, menée en coopération étroite avec l’Ambassade de Guinée en Libye et le Département libyen de lutte contre la migration illégale (DCIM), était la dernière d’une série de vols de retour volontaire pour les migrants depuis la Libye vers l’Afrique de l’Ouest. Elle a été financée par le Secrétariat suisse pour la migration et par l’Union européenne.
Les migrants, dont bon nombre avaient passé plusieurs mois dans le centre de détention d’Abu Saleem près de Tripoli, sont rentrés par avion à Conakry depuis l’aéroport international Mitiga de Tripoli. Avant de quitter le centre, le personnel de l’OIM leur a donné des vêtements propres, des chaussures et des kits d’hygiène. Plusieurs migrants ont confié à l’OIM avoir vécu dans des conditions difficiles au centre, avec très peu d’eau et de nourriture.
Frank, 28 ans, atteint d’une scoliose (courbure sévère de la colonne vertébrale) a raconté à l’OIM qu’après quatre long mois d’agonie en Libye, tout ce qu’il voulait était rentrer chez lui. « J’avais 400$ sur moi quand je suis arrivé et quelques photos de ma mère et de ma famille restée au pays. Quand j’ai été arrêté par la police, j’ai été emmené en prison. Je n’ai jamais pu récupérer mes affaires. Ça m’est égal tant que je quitte cet endroit et que je rentre chez mois auprès de ma famille », a t-il déclaré.
Fatima, mère de deux enfants (un garçon de quatre ans et une petite fille de deux ans) a raconté à l’OIM qu’elle était bloquée en Libye dans l’incapacité de partir après le décès de son mari qui travaillait à Tripoli. Même si elle ne faisait pas partie des détenus d’Abu Saleem, elle parvenait difficilement à survivre sans travail ni revenu pour subvenir aux besoins de ses enfants. « Je ne veux plus jamais retourner en Libye », a t-elle déclaré.
Ibrahim, 18 ans, voulait se rendre en Italie et y trouver du travail. Après avoir trouvé du travail dans la ville de Zawia, à 40 km à l’ouest de Tripoli, il a été détenu pendant huit semaines jusqu’à ce que l’OIM permette sa libération et celle de 38 autres migrants détenus, un jour avant leur départ en Guinée.
A leur arrivée à Conakry, tous les rapatriés ont reçu de l’argent pour être transportés vers leurs destinations finales. Vingt des rapatriés les plus vulnérables recevront une aide à la réintégration.
Pour plus d’informations, veuillez contacter l’OIM en Libye, Othman Belbeisi, Tel: +216 29 600389, Email: obelbeisi@iom.int ou Ashraf Hassan, Tel: +216 29 794707, Email ashassan@iom.int