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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L'OIM poursuit ses opérations d'enregistrement et ses activités d'organisation de nouveaux sites afin de décongestionner les sites prioritaires avant la saison des pluies
L'OIM poursuit le processus d'enregistrement des
déplacés internes afin d'identifier les zones
d'origine et d'évaluer la situation générale
des familles déplacées.
Cet enregistrement permet de fournir des informations
essentielles aux partenaires impliqués dans
l'évaluation des logements, dans le déblaiement des
débris et dans le relogement des déplacés,
soit dans des installations de transition à proximité
de leurs lieux d'origine ou dans de nouveaux sites.
« L'OIM poursuit une approche globale. Les
opérations d'enregistrement nous permettront de mieux
comprendre la démographie et les attentes de la population
qui réside dans les camps », explique Giovanni
Cassani, responsable du groupe de la coordination et de la gestion
des camps.
« Nous nous efforçons d'aider la population
déplacée en lui permettant de réaliser ces
attentes. C'est pour cela que l'OIM recueille toutes les
informations qui seront nécessaires aux partenaires pour la
mise en uvre d'une stratégie pour les
déplacés », poursuit Giovanni Cassani.
Cette stratégie prévoit:
- Le retour des déplacés dans leurs maisons, ci
celles-ci sont solides ; - Le retour vers un terrain où les débris ont
été enlevés ; - L'hébergement dans une famille d'accueil ;
- L'accueil temporaire dans un site à proximité de
leur lieu d'origine ou, si possible, l'accueil dans un site
déjà installé ; - Pour ceux qui n'ont pas d'autres possibilités, le
relogement temporaire dans des sites établis et
identifiés par le Gouvernement haïtien.
Afin de recueillir toutes les informations relatives au nombre
et aux emplacements des sites improvisés, l'OIM a mis en
place un dispositif de suivi des déplacements
régulièrement mis à jour.
La matrice de suivi des déplacements a permis
d'identifier près de 500 sites accueillant plus de 1 200 000
individus à l'intérieur même de la zone
métropolitaine de Port-au-Prince. L'identification de ces
sites est un processus continu et permanent entrepris avec le
soutien des parties prenantes du gouvernement et des organismes
humanitaires.
Non moins de 50 sites comptent chacun une population de plus de
5 000 individus, ce qui représente environ la moitié
de la population déplacée vivant dans des
installations de fortune dans la ville de Port-au-Prince.
Dix-sept sites comportant un risque élevé
d'inondations et/ou de glissements de terrain ont été
identifiés comme prioritaires pour le
désencombrement. Ces sites prioritaires seuls accueillent
une population de 250 000 personnes. Les familles dans ces sites
sont progressivement enregistrées par le biais
d'évaluations sur le terrain, conduites par les
équipes de l'OIM en coopération avec les
autorités nationales et les forces militaires
américaines, afin d'évaluer les impacts potentiels
des prochaines pluies.
Dans d'autres zones touchées par le séisme,
notamment Léogane, Gressier, Petit Goave, Grand Goave et
Jacmel, des évaluations pour déterminer la
vulnérabilité sont également en cours afin
d'identifier les sites prioritaires où les personnes sont
susceptibles d'être confrontées à des
inondations et d'autres types de risques liés à
l'environnement.
Dans le même temps, l'OIM poursuit ses activités
d'organisation afin de faciliter le relogement des personnes
déplacées pour lesquelles il n'existe aucune autre
alternative.
Santo 17, l'une des premières installations mises en
place, est situé dans la ville de Croix-des-Bouquets et a
été officiellement ouverte le 13 mars. Les zones 1 et
2 de Santo 17 disposent désormais de 130 tentes fournies par
l'OIM. D'autres familles seront déplacées depuis
d'autres sites improvisés pour s'installer dans la
municipalité de Croix-des-Bouquets. Le site s'étend
sur 4,5 hectares et devrait accueillir 1 400 personnes
déplacées.
Le travail de terrain est en cours à « Tabarre Issa
», un site de 10 hectares qui devraient accueillir environ 3
000 personnes déplacées. L'OIM supervise les efforts
de préparation des sites, en coordination avec la Mission
des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti
(MINUSTAH).
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Bertrand Martin
OIM Port-au-Prince
Tel. +509 3859 8619
E-mail:
"mailto:bmartin@iom.int">bmartin@iom.int
ou
Mark Turner
Tél. +509 3702 5066
E-mail:
"mailto:mturner@iom.int">mturner@iom.int