-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L'OIM lance une campagne d'information sur les droits et les responsabilités des migrants
L'OIM lance cette semaine au Costa Rica, une nouvelle campagne
d'information destinée à informer les migrants sur
leurs droits et leurs responsabilités.
La campagne s'inscrit dans un projet de co-développement
géré par l'OIM, qui cible le Nicaragua et le Costa
Rica et vise à régulariser les flux de travailleurs
migrants nicaraguayens au Costa Rica en leur garantissant un statut
juridique sur le marché du travail local, en
améliorant la situation économique et psychosociale
des migrants et de leurs familles et en favorisant leur insertion
sociale dans la société.
connexe
alt="" border="0" height="12" hspace="0" src=
"/jahia/webdav/site/myjahiasite/shared/shared/mainsite/graphics/interface/icons_buttons/blue_link_box.gif">
"_blank" title="">Voir vidéo (Español)
Les messages de la campagne se centreront sur les droits et les
responsabilités des migrants et des employeurs, notamment
l'interdiction de la maltraitance, l'abolition des
détentions arbitraires, l'accès aux soins, le droit
à un salaire minimum, à des congés
payés, et autres droits du travail prévus par la loi
costaricaine tels que le droit de s'affilier à des syndicats
et autres organisations similaires.
En collaboration avec le Ministère costaricain du Travail
et de la Protection Sociale, le Directorat général
des migrations et le Consulat nicaraguayen, et grâce au
financement de l'Agence espagnole pour la coopération
internationale (de l'acronyme espagnol AECI), des spots
audiovisuels seront diffusés, et des brochures d'information
et autres documents seront distribués à travers le
pays, en ciblant en particulier les migrants et les employeurs.
« Le projet de co-développement de l'OIM vise
à accroitre la contribution des migrants nicaraguayens
à l'économie de leur pays d'accueil et de leur pays
d'origine. Nous agissons également dans le but
d'améliorer l'intégration et d'augmenter le
bien-être psychosocial de cette population », explique
Salvador Gutiérrez de l'OIM au Costa Rica.
Ces trente dernières années, les flux migratoires
du Nicaragua vers le Costa Rica ont été
provoqués par les catastrophes naturelles, les conflits
politiques et les récessions économiques.
Bien qu'aucun chiffre précis ne soit disponible, les
estimations donnent quelque 250 000 Nicaraguayens vivant au Costa
Rica de manière permanente. Un nombre similaire de migrants
vivraient illégalement dans le pays, venant pour des
emplois saisonniers puis retournant dans leurs pays une fois leur
travail terminé.
La peur et la méconnaissance de la loi sont les
principales raisons qui poussent les travailleurs migrants à
ne pas s'enregistrer dans le système de protection sociale.
Les employeurs font donc des économies considérables,
mais les migrants ne sont pas couverts en cas d'accidents du
travail. Sans contrat, les migrants irréguliers sont
payés en-dessous du salaire minimum et ne sont pas couverts
par la sécurité sociale, qui paie notamment les
indemnités en cas d'accident du travail.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Ana Beatriz Fernández
OIM San José
Tél. +506 2221 5348, ext. 136
E-mail :
"mailto:afernandez@iom.int">afernandez@iom.int