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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM lance un appel de fonds afin de poursuivre l'aide essentielle aux migrants victimes de la crise qui se prolonge en Libye
L'OIM lance, aujourd'hui, un appel urgent à la
communauté internationale pour continuer à aider des
dizaines de milliers de migrants qui ont fui la violence en Libye
ou qui sont encore bloqués dans le pays, dans une situation
désespérée.
L'Organisation, qui a demandé un total de 150,2 millions
de dollars, a reçu près de 75,5 millions à ce
jour.
La majeure partie des fonds supplémentaires sera
utilisée pour aider les migrants, qui ont réussi
à atteindre les pays voisins, à rentrer chez eux.
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"">Libya Migration Crisis Website
Depuis le 28 février, grâce à l'aide de
différents gouvernements et du HCR, l'OIM a aidé
près de 136 000 migrants de 45 pays à rentrer chez
eux.
Pendant les trois mois depuis le début de la crise, plus
de 805 000 personnes ont traversé la frontière vers
la Tunisie, l'Egypte, le Niger, le Tchad et l'Algérie, ou
sont arrivées en Italie, à Malte et au Soudan.
Bien qu'un nombre quotidien plus faible de migrants traverse
aujourd'hui la frontière vers la Tunisie et l'Egypte, des
milliers de migrants restent bloqués aux frontières
libyennes, en attente de leur évacuation.
« Nous avons encore besoin de fonds pour secourir les
migrants incapables de fuir la violence en Libye »,
déclare Mohammed Abdiker, Directeur des opérations
d'urgence de l'OIM.
L'OIM a déjà secouru près de 6 300 migrants
et Libyens blessés par bateau, depuis la ville portuaire de
Misrata, et plus de 500 migrants de Benghazi à Alexandrie,
au tout début de la crise.
Plus de 20 000 migrants ont aussi été
évacués par la route, depuis la ville de Benghazi,
à l'est du pays, vers Saloum, à la frontière
égyptienne et depuis Tripoli, la capitale libyenne vers Ras
Adjir, à la frontière tunisienne.
Alors que de nombreux migrants devraient tenter de fuir, en
particulier vers le Tchad, le Niger et la Tunisie, dans les
prochaines semaines et mois, des dizaines de milliers d'autres
restent bloqués dans les villes libyennes de Gatroun, Sebha,
Tripoli et Misrata.
Un groupe de 20 000 à 30 000 Tchadiens est source
d'inquiétude. Il s'agirait principalement de femmes et
d'enfants en situation critique, sans nourriture, sans eau, sans
abris et sans accès aux soins à Gatroun. L'OIM
poursuit ses efforts pour parvenir à ce groupe situé
à environ 1 000 km de la frontière entre la Libye et
le Tchad.
« En raison de la distance entre la Libye et leur lieu
d'origine, ainsi que l'isolement de villes comme Faya et Kalait au
Tchad et Dirkou, au Niger, où plusieurs milliers de migrants
arrivent après avoir traversé une frontière,
toute opération visant à les aider est un
véritable défi et nécessite un soutien
financier considérable », déclare Mohammed
Abdiker.
«La détresse des migrants, qui n'ont pas
accès aux produits de première
nécessité tels que la nourriture, l'eau et les abris,
empire au fur et à mesure que la crise se prolonge. Nous
devons donc les aider le plus rapidement possible »,
ajoute-t-il.
L'appel de l'OIM couvre d'autres activités humanitaires
en réponse à la crise. Ces activités
comprennent une aide psychosociale pour les migrants, dont bon
nombre ont souffert de violence lors de leur fuite, ont craint pour
leurs vies ou ont vu d'autres se faire tuer ; une aide
médicale de voyage pour les évacués ; une aide
humanitaire pour les migrants qui sont bloqués à la
frontière entre la Libye et ses voisins ; et enfin la
stabilisation des communautés locales dans les zones
frontalières où les migrants arrivent.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Jemini Pandya
OIM Genève
Tel: + 41 22 717 9486
+ 41 79 217 3374
E-mail:
"mailto:jpandya@iom.int">jpandya@iom.int
ou
Jumbe Omari Jumbe
Tel: + 41 22 717 9405
+ 41 79 812 7734
E-mail:
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