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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM intensifie son aide aux victimes du séisme en Equateur
Ecuador - L’OIM intensifie son soutien au gouvernement équatorien en vue d’aider les personnes touchées par le séisme qui a frappé la côte pacifique du pays le 16 avril, faisant 659 morts et laissant au moins 720 000 personnes dans le besoin d’aide humanitaire.
Cette semaine, l’OIM commencera à distribuer 10 000 bâches en plastique et 1 000 caisses à outils pour aider les habitants à reconstruire leurs habitations. Elle a également déployé des spécialistes de l’urgence pour donner des conseils dans les domaines de la coordination et de la gestion des camps (CCCM), des abris et du relèvement rapide.
Les premières évaluations indiquent que des milliers de personnes qui ont perdu leur habitation lors du séisme vivent désormais dans des abris temporaires, des installations de fortune et des familles d’accueil. Quelque 29 000 personnes vivent dans des abris temporaires gérés par le gouvernement.
L’OIM travaille en collaboration étroite avec le Ministère de l’inclusion économique et sociale (MIES), les autorités locales, notamment les gouvernements autonomes décentralisés, et d’autres organismes humanitaires en vue d’identifier le nombre de personnes vivant dans des installations de fortune et dans des familles d’accueil, et de déterminer leurs besoins.
D’après le personnel de l’OIM sur le terrain, dans certaines des zones rurales les plus sinistrées, le nombre de personnes vivant dans des familles d’accueil est énorme. Si ces familles ne reçoivent pas une aide immédiatement, la situation pourrait empirer au point de les forcer à partir et à retourner dans leur lieu d’origine ou de se rendre dans des installations de fortune.
De nombreuses autres familles ont décidé de rester sur la terre où leur habitation était construite avant le séisme et vivent aujourd’hui soit dans des tentes, soit dans des conditions précaires de surpeuplement dans les pièces non sinistrées. Bon nombre de ces bâtiments sont insalubres et exposés au risque de répliques.
C’est le cas de la famille de Peter Vera. Le séisme a détruit sa maison. Lui, sa femme, ses cinq enfants et sa belle-mère vivent entassés dans une petite pièce sans murs, avec pour seules possessions les articles qu’il a réussi à sauver des décombres. Peter a expliqué qu’il ne quitterait pas son terrain et qu’il a besoin d’aide humanitaire pour reconstruire lui-même sa maison.
L’OIM œuvre également en vue d’identifier et d’aider les personnes vulnérables, notamment les personnes vivant avec un handicap et celles exposées au risque de violences sexuelles dans les sites de déplacement. Elle facilite également l’accès à des soins spécialisés aux survivantes de violences.
José Serrano, Ministre de l’intérieur, et Raul Patiño, Ministre de la défense, se sont rendus, dimanche, à La Chorrera, un petit village de pêcheurs dévasté situé à Pedernales, et ont rencontré l’OIM, le Coordinateur permanent des Nations Unies/Coordinateur humanitaire et l’équipe des Nations Unies pour la Coordination et l’évaluation en cas de catastrophe (UNDAC).
Malgré les efforts déployés par le gouvernement équatorien pour aider toute la population touchée, les besoins les plus importants concernent les abris, les articles d’aide non alimentaire, la formation CCCM pour les autorités locales et l’aide aux familles déplacées vivant dans des installations de fortune ou dans des familles d’accueil.
L’OIM a débloqué 500 000 USD de son Mécanisme de financement pour les urgences migratoires (MEFM) mais a besoin d’au moins 9,25 millions USD pour mener à bien ses interventions d’urgence planifiées et ses activités humanitaires de relèvement rapide.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Juliana Quintero ou Jimena Almeida, OIM Equateur, Emails: juquintero@iom.int, jalmeida@iom.int Tel: +593 99 9666640