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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM et USAID lancent un programme élargi de prévention et de traitement du VIH pour les migrants et les communautés d’accueil en Afrique du Sud
Avec le financement du Plan d’urgence du Président
américain pour la lutte contre le SIDA (PEPFAR), l’OIM
et USAID prévoient de prolonger jusqu’en 2016 le
projet Ripfumelo luttant contre la vulnérabilité des
agriculteurs au VIH dans les provinces sud-africaines de Limpopo et
de Mpumalanga.
Ripfumelo signifie « croire » en Tsonga. Le projet
Ripfumelo II, d’un montant de 7,1 millions de dollars,
couvrira certains districts des provinces de Gauteng et de
KwaZulu-Natal et aura pour objectif d’amplifier les
opérations de prévention et de traitement du VIH pour
les populations de voyageurs et de migrants, y compris les migrants
de main-d’uvre, les travailleurs mobiles et les
migrants irréguliers, ainsi que les communautés avec
lesquelles ils interagissent.
Des milliers de migrants fuient les troubles politiques et
économiques dans les pays voisins, dans l’espoir de
trouver une vie meilleure en travaillant dans les exploitations
agricoles sud-africaines. Toutefois, la plupart d’entre eux
est vulnérable à l’exploitation et dispose
d’un accès limité aux soins de santé.
Les conditions de surpeuplement et l’absence de lieux
récréatifs les exposent davantage aux maladies
infectieuses telles que le VIH/SIDA et la tuberculose (TB).
Depuis le lancement du projet Ripfumelo de 4,6 millions de
dollars en 2009, plus de 20 000 migrants ont pu avoir accès
aux services de santé. Son prolongement jusqu’en 2016
permettra d’atteindre les agriculteurs migrants et les
nouvelles zones géographiques difficilement accessibles,
tout en accélérant les opérations de
prévention, d’aide psychosociale et les examens
médicaux liés à la TB et au SIDA.
« Le nouveau projet soutient le Plan stratégique
national (PSN) du gouvernement sud-africain visant à
réduire l’incidence du VIH et de la TB et d’en
atténuer les conséquences afin d’atteindre
l’objectif ultime de Zéro nouvelle infection »,
déclare Mathata Madibane, responsable
d’activité d’USAID.
Dans le PSN, les migrants sont identifiés comme un groupe
de population clé qui doit être ciblé par les
programmes de lutte contre le VIH, les MST (maladies sexuellement
transmissibles) et la TB, en raison de leur risque
élevé de contracter des maladies contagieuses et des
problèmes qu’ils rencontrent pour accéder aux
services de santé.
« Ripfumelo a bien fonctionné dans le secteur de
l’agriculture commerciale en proposant des services complets
de prévention et de traitement du VIH/SIDA. Il nous faudra
toutefois déployer des efforts collectifs pour enrayer cette
épidémie de SIDA », explique Alex Nemakode,
responsable du service communautaire à la
Municipalité du District de Vhembe.
« Le projet Ripfumelo est un partenariat
stratégique avec les ONG et les autorités à
tous les niveaux, qui facilite l’accès aux services et
aux programmes de santé, en particulier aux services de
prévention, de traitement et de soutien pour les personnes
contaminées par le VIH, les MST et la TB. Il tient compte
des obstacles structurels pour réduire la
vulnérabilité et génère des
informations stratégiques pour l’élaboration et
la planification de politiques basées sur des faits »,
déclare le Dr. Erick Ventura, coordinateur régional
des opérations de santé migratoire et chef de mission
intérimaire de l’OIM en Afrique du Sud.
« Bien que l’Afrique du Sud dispose de politiques et
de programmes globaux, leur mise en uvre reste
problématique au niveau local. Ripfumelo II contribuera
à combler l’espace entre théorie et pratique.
Au cours des trois dernières années, USAID et le
PEPFAR ont soutenu l’OIM pour établir des
réseaux étendus et collaborer avec diverses parties
prenantes, notamment avec le gouvernement, afin de garantir
l’accessibilité et la disponibilité des
services et programmes aux populations difficilement accessibles
telles que les agriculteurs », déclare Mathata
Madibane.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Gaone Dixon
OIM Pretoria
Tel. +27 82 815 5161
Email:
"mailto:gdixon@iom.int">gdixon@iom.int