-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L’OIM et les Nations Unies expriment leur inquiétude pour la sécurité des migrants et dénoncent le recours aux forces armées en Libye
Genève - L’Organisation internationale pour les migrations a exprimé, aujourd’hui, son inquiétude pour les civils libyens et les migrants détenus à mesure que les convois militaires se rapprochent de Tripoli, la capitale.
Lors des affrontements en août 2018, plus de 14 000 civils ont été déplacés et plus de 2 000 migrants se sont retrouvés pris dans les combats.
« La sécurité des migrants en détention serait particulièrement préoccupante dans le cas d’une intensification de l’action militaire. Le sort de tous les civils libyens et la sécurité des travailleurs humanitaires restent également une inquiétude majeure », a déclaré António Vitorino, Directeur général de l’OIM.
« Les migrants, y compris les hommes, femmes et enfants qui sont détenus dans des conditions souvent inhumaines sur fond de dégradation rapide de la situation en matière de sécurité, sont particulièrement vulnérables », a-t-il poursuivi, faisant remarquer que « la Libye n’est pas un lieu sûr pour rapatrier les migrants qui ont tenté de rejoindre l’Europe en vain. »
Depuis le début de cette année, 1 073 migrants, dont 77 enfants, ont été rapatriés en Libye après avoir été interceptés et secourus en mer puis placés en détention arbitraire.
Plus tôt à Tripoli, le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a lancé un « appel fort » pour une désescalade et la fin des déploiements par les factions militaires à travers le pays. Il a également souligné que les migrants en détention « ne sont pas uniquement la responsabilité de la Libye mais celle de la communauté internationale toute entière. »
M. Guterres s’est rendu, hier, dans le Centre de détention d’Ain Zara où sont actuellement détenues plus de 600 personnes, pour parler aux hommes, femmes et enfants qui s’y trouvent depuis plusieurs mois. Le Secrétaire général des Nations Unies a déclaré avoir été choqué par le niveau de souffrance des migrants et « en particulier par le degré de désespoir dont il a été témoin. »
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Leonard Doyle, OIM Genève : +41 79 285 7123, ldoyle@iom.int
Safa Mselhi, OIM Libye : +216 22 241 842, smselhi@iom.int