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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM apporte son soutien à la première Conférence nationale du Brésil sur la migration et l’asile
Argentine - L’OIM fournit un soutien aux partenaires du gouvernement brésilien et participera à la première Conférence nationale sur la migration et l’asile (COMIGRAR) qui s’ouvre aujourd’hui à São Pablo, en tant qu’expert de la migration.
La conférence de trois jours réunira environ 700 participants œuvrant dans des domaines liés à la migration, à la mobilité humaine et à l’asile, issus du gouvernement, des organisations internationales, des ONG, du milieu universitaire et du secteur privé.
Les organisateurs encouragent des débats francs et ouverts qui aideront les responsables politiques à renforcer les politiques migratoires centrées sur les droits de l’homme.
La planification de COMIGRAR, qui s’est faite sous les auspices du Ministère brésilien de la justice, a débuté en 2013 par des recommandations et des débats entre les ministères et les experts nationaux et a été suivie de plus de 200 réunions (physiques et virtuelles) avec plus de 50 municipalités et associations de diasporas brésiliennes dans plus de 14 pays.
« En l’état actuel de son évolution pour le pays, COMIGRAR donne aux dirigeants l’opportunité d’élaborer un modèle de développement qui garantira l’intégration et l’inclusion de tous les migrants et la meilleure utilisation possible des compétences qu’ils apportent au Brésil », a déclaré Diego Beltrand, Directeur régional de l’OIM pour l’Amérique du Sud.
« Un débat horizontal, tel que celui qui s’ouvre aujourd’hui à São Pablo, qui inclut les migrants et les Brésiliens vivant à l’étranger, est certainement un modèle à reproduire aux niveaux régional et mondial », a ajouté Diego Beltrand.
Parmi les sujets de débat figurent l’accès aux soins de santé et à l’éducation, les campagnes d’information visant à lutter contre la xénophobie et la discrimination et la nécessité d’établir des politiques migratoire fondées sur l’inclusion et le développement local. La liste complète des thèmes abordés peut être consultée sur le site internet de COMIGRAR, Cuaderno de propuestas.
L’OIM coordonne deux tables rondes thématiques sur l’« Aide au retour volontaire et à la réintégration » et « les nouveaux flux migratoires au Brésil : le cas de la migration haïtienne. »
En 2012, l’OIM a réalisé une étude sur la migration haïtienne au Brésil qui a confirmé que la migration des haïtiens au Brésil avait augmenté suite au séisme dévastateur qui a frappé Haïti en janvier 2010. L’étude de l’OIM était centrée sur l’Equateur et le Pérou, principaux pays de transit pour les migrants, et a révélé que les migrants passaient par les régions péruviennes de Tumbes, Lima et Madre de Dios pour atteindre l’Etat d’Acre, au nord du Brésil.
« Le gouvernement brésilien met en œuvre une politique de visa humanitaire très ouverte pour aider certaines nationalités, notamment les Haïtiens, pendant que leur pays continue de se relever du séisme dévastateur de 2010, et également pour gérer les migrations dans le bon ordre et la sécurité », a expliqué Jorge Peraza, responsable régional de l’OIM.
L’asile est également un important sujet de débat. Les demandes d’asile au Brésil en 2013 ont sextuplé par rapport à 2012. Les ressortissants du Bangladesh sont en tête de liste, suivis des ressortissants du Sénégal, du Liban, de Syrie et de République démocratique du Congo.
Avec une population totale de 190 755 759 habitants (recensement 2010), les migrants dans le pays représentent environ 1% de la population, soit à peu près un million de personnes. La majorité sont des Portugais (277 727), suivis des Japonais (91 042), des Italiens (73 126) et des Espagnols (59 985). Depuis ces quelques dernières années, la majorité des migrants arrivant au Brésil ne sont pas originaires du continent sud-américain et viennent d’Afrique (principalement du Sénégal) et de la région caraïbe (en particulier de République dominicaine et d’Haïti).
Pour plus d’information sur COMIGRAR, veuillez vous rendre sur : http://www.participa.br/comigrar/sobre-a-comigrar#.U4YZgBzD9mM
Pour plus d’information, veuillez contacter
Magdalena Mactas
OIM Buenos Aires
Email : mmactas@iom.int