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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM appelle à investir urgemment pour renforcer la résilience et l'adaptation aux catastrophes futures
Genève – La récente publication du Sixième rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et du Rapport mondial d'évaluation sur la réduction des risques de catastrophe du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNDRR) renforce l’ensemble de preuves croissant démontrant les profondes répercussions des changements climatiques sur la mobilité humaine.
En 2021, sur plus de 40 millions de nouveaux déplacements, près de 31 millions de personnes à travers le monde ont été déplacées par des catastrophes. Le Rapport mondial d'évaluation prévoit que d'ici 2030, 560 catastrophes auront lieu chaque année, soit plus de 1,5 catastrophe par jour. L'UNDRR met en garde contre une augmentation de 30 pour cent des sécheresses et un triplement du nombre de phénomènes de température extrême. Les catastrophes coûteront aux pays à revenu faible et moyen inférieur jusqu'à 10 fois ce qu'elles coûteront aux pays à revenu élevé et moyen supérieur. La région Asie-Pacifique sera la plus touchée par les pertes économiques.
« Les catastrophes sont désormais l'une des principales causes de déplacement forcé dans le monde, et la région qui accueille la Plateforme mondiale cette année - l'Asie et le Pacifique - subit la majorité de ces nouveaux déplacements », déclare António Vitorino, Directeur général de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). « La réduction des risques de catastrophe n'est pas seulement l'une des principales priorités institutionnelles de l'OIM, mais aussi un défi de gouvernance mondiale qui nécessite davantage d'investissements, d'attention et, surtout, une action concertée. »
La septième session de la Plateforme mondiale pour la réduction des risques de catastrophe (GP2022), qui se tiendra à Bali, en Indonésie, correspond au point de mi-parcours de la mise en œuvre du Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe. L'OIM est convaincue que la GP2022 servira d'élan positif aux gouvernements, aux parties prenantes de la RRC et au système des Nations Unies pour reconfirmer et faire progresser leurs engagements.
Le Rapport mondial d'évaluation de l'UNDRR souligne qu'alors que l'intensité croissante des risques naturels et la fréquence accrue des catastrophes deviennent la norme, il sera essentiel d'éviter et d'atténuer l'impact des catastrophes sur nos sociétés.
L'OIM s'engage à traduire les dimensions de mobilité de la réduction des risques de catastrophe en actions concrètes pour assurer la sécurité et la protection des migrants et des personnes déplacées partout dans le monde. L'OIM appelle tous les gouvernements et toutes les parties à adopter la vision du GIEC pour passer du risque climatique à un développement résilient au climat afin de s’attaquer à la réduction des risques de catastrophe face aux changements climatiques.
Le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières contient plusieurs engagements intergouvernementaux relatifs à la migration dans le contexte des changements climatiques, visant à réduire au minimum les facteurs défavorables qui contraignent les gens à se déplacer et à améliorer la disponibilité des voies de migration régulière.
L'OIM met actuellement en œuvre plus de 250 projets liés à la réduction des risques et à l'adaptation aux changements climatiques dans certaines des situations d'urgence humanitaire les plus graves au monde, notamment en Ethiopie, en Afghanistan, au Bangladesh, en République démocratique du Congo, au Soudan, au Mozambique, au Soudan du Sud et au Nigéria.
L'Organisation considère les partenariats ainsi que la participation et l'engagement des communautés comme essentiels pour réduire les risques. Dans le cadre de partenariats multipartites dirigés par les gouvernements, tels que l'initiative Migrants dans des pays en crise (MICIC) et la Plateforme sur les déplacements dus aux catastrophes, l'OIM et le PNUD sont les co-présidents mondiaux de l'Initiative sur la capacité de réduction des catastrophes (CADRI) qui a aidé plus de 30 pays à mettre en place des mécanismes de coordination de la RRC et des politiques et systèmes associés.
Les réponses de l'OIM à la migration induite par le climat sont globales et comprennent la prévention et la préparation, la réponse, le relèvement rapide et le renforcement de la résilience, ainsi que la réintégration des migrants de retour.
Vous trouverez de plus amples informations sur la Plateforme mondiale à l'adresse : https://globalplatform.undrr.org/
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Pour plus d'informations, veuillez contacter :
Nicholas Bishop, Email : nbishop@iom.int
Kennedy Omondi, Email : kokoth@iom.int