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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les femmes d’Amérique Centrale unies pour lutter contre la traite
Les ministres d’Amérique Centrale ont fait un grand
pas cette semaine en donnant le coup d’envoi d’un
effort régional en matière de lutte contre la traite
des femmes dans cette région.
Cet événement exceptionnel de deux jours a
réuni à San José des femmes ministres membres
du Conseil des femmes ministres de la condition féminine en
Amérique Centrale (COMMCA), des experts de l’OIM en
matière de lutte contre la traite, et le Réseau
centro-américain des ONG luttant contre les violences faites
aux femmes.
La question de la traite des femmes est rarement abordée
lors de débats nationaux ou régionaux, en
dépit du fait que 80 pour cent des victimes de la traite
dans le monde sont des femmes et des mineurs. Selon les
statistiques régionales de l’OIM sur l’aide au
retour des victimes de la traite, les femmes et les mineurs
représentent plus de 90% des bénéficiaires de
cette aide.
Les dernières tendances enregistrées dans cette
région confirment une augmentation des migrations
intra-régionales irrégulières et de la traite
d’êtres humains.
Un rapport publié en 2006 par le Programme des Nations Unies
pour le contrôle international des drogues (PNUCID) indique
que les pays d’Amérique Centrale sont des pays
d’origine, de transit et de destination en relation avec,
entre autres, les Philippines, les pays de l’ex-Union
soviétique, l’Espagne, le Japon, le Canada et les
Etats-Unis.
Les représentants gouvernementaux et non-gouvernementaux
réunis à San José, qui reconnaissent que la
traite des femmes est une des manifestations des violences
sexistes, ont approuvé les lignes directrices d’un
plan d’action visant à développer de
façon systématique des politiques publiques de lutte
contre la traite des femmes.
La direction de la COMMCA a par ailleurs convenu d’encourager
les dirigeants des Etats d’Amérique Centrale à
l’occasion du XXIème Sommet, prévu le mois
prochain au Costa Rica, à faire de la question de la traite
des femmes une question prioritaire de l’agenda politique
régional.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Agueda Marin
OIM San José
Tél.: (506) 221 53 48 Ext 119
Email:
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