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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les craintes s'amplifient pour le nombre croissant de migrants bloqués sans eau ni nourriture à Sebha alors que affrontements s'intensifient
Environ 3 000 migrants chercheraient actuellement refuge dans un
centre de transit de l'OIM alors que les affrontements autour de la
ville libyenne de Sebha continuent.
Cependant, l'OIM est profondément inquiète pour
leur bien-être car le centre de transit, tout comme le reste
de la ville, est bientôt à court de nourriture. Il n'y
a pas non plus d'eau courante et d'électricité.
Les migrants, principalement tchadiens mais également
somaliens, érythréens, nigérians,
nigériens, égyptiens, jordaniens et pakistanais, ont
commencé à arriver au centre de l'OIM pour trouver
refuge il y a quelques semaines. Mais leur nombre s'est
récemment accru de manière considérable.
Les responsables consulaires tchadiens à Sebha ont
confié à l'OIM que de nombreux tirs avaient eu lieu
dans la nuit du 11 au 12 septembre et que la sécurité
dans la ville se détériorait rapidement.
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"">Libya Migration Crisis Website
Afin de loger le nombre croissant de migrants, l'OIM loue un
bâtiment à côté de son centre de
transit.
« Bien que le deuxième bâtiment permette de
fournir plus d'espace pour les nouveaux arrivants, la
pénurie de nourriture et l'absence d'eau courante sont
extrêmement inquiétantes. Alors que la
sécurité se dégrade, le seul moyen
d'éviter une catastrophe humanitaire est d'évacuer
les migrants dès que possible », déclare
Mohammed Abdiker, Directeur des opérations d'urgence de
l'OIM.
Compte tenu des affrontements qui rendent l'évacuation
aérienne impossible, l'OIM travaille sur une
évacuation par la route dès qu'un couloir humanitaire
hors de Sebha pourra être établi et que les derniers
problèmes logistiques concernant le carburant et le
transport seront résolus.
La semaine dernière, l'Organisation a appelé les
parties en conflit à respecter le droit humanitaire
international et à garantir qu’aucun mal ne soit fait
à ces migrants qui trouvent refuge au centre de l'OIM.
Pendant ce temps, plus d'un millier des 2 000 Africains
subsahariens bloqués dans la ville nigérienne de
Dirkou après avoir fui la Libye récemment sont en
cours d’évacuation à bord d’un convoi de
l'OIM en direction d'Agadez, au sud du pays.
Un centre de transit de l'OIM d’une capacité de 250
personnes, installé à Dirkou, près de la
frontière entre le Niger et la Libye, accueille actuellement
jusqu'à 400 migrants. Les migrants restants vivent dehors,
à Dirkou et ses alentours.
Les 2 000 migrants, dont 1 000 Nigérians, Gambiens,
Sénégalais, Togolais, Tchadiens, Ivoiriens,
Ghanéens, Mauritaniens, Burkinabés et Maliens sont
bloqués à Dirkou depuis plusieurs semaines et ont
désespérément besoin d’aide humanitaire
et d’aide à l'évacuation.
Les équipes de l'OIM à Dirkou, le Croissant Rouge
nigérien et des bénévoles distribuent aux
migrants trois repas par jour et de l’eau, et effectuent des
examens médicaux.
Toutefois, ils insistent sur la nécessité de
fournir une aide plus importante et durable alors que les migrants
sont obligés d'attendre dans la ville, non seulement pour
trouver un moyen de transport disponible mais également une
escorte vers Agadez, ville principale au nord du Niger.
La pénurie de carburant pour mettre en route les camions
loués par l'OIM qui se rendent à Agadez, est un
problème majeur depuis ces dernières semaines.
Jusqu'à la chute du régime de Kadhafi,
l'approvisionnement en carburant provenait des villes libyennes
voisines et le prix était abordable. Depuis plusieurs
semaines, il n'y a pas de carburant disponible à
l'intérieur et autour de la ville. Le carburant doit
désormais être acheminé depuis Agadez, soit un
périple de trois à quatre jours minimum et
coûte beaucoup plus cher.
Le personnel de l'OIM à Dirkou confie que les Africains
subsahariens, en particulier les Nigérians, ont
rapporté qu’ils ont maintenant fui la Libye à
cause de la prise pour cible des Africains. Certains disent avoir
été accusés d'être des mercenaires.
Près de 79 000 migrants africains, dont une grande
majorité de Nigériens, ont fui vers le Niger depuis
la Libye depuis le début de la crise.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Jean Philippe Chauzy
Tel: +41 22 717 9361 / +41 79 285 4366
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