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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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La population dans les camps logeant les Haïtiens sans abris depuis le séisme de 2010 passe au-dessous de 600 000
Les Haïtiens sans abris depuis le séisme de janvier
2010 continuent de quitter les camps de déplacement en grand
nombre. La population des camps passe désormais au-dessous
des 600 000 individus pour la première fois depuis le
séisme.
La matrice de suivi des déplacements de l'OIM en
Haïti (DTM), mise en place en soutien au cluster de gestion et
de coordination des abris (CCCM), estime à environ 594 800
le nombre de personnes vivant dans les camps à la fin du
mois de juillet. Ce chiffre représente une baisse de quelque
6% par rapport au mois précédent (juin 2011).
En dépit de cette baisse, le rythme des départs
des camps a ralenti par rapport au rapport de la DTM en mai 2011,
indiquant que les solutions deviennent de plus en plus difficiles
à trouver pour les déplacés.
Connexes
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2011
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Haiti
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website
« Au cours des six derniers mois, le rythme des sorties
des camps a considérablement diminué et la plupart
des personnes encore présentes dans les camps étaient
locataires avant le séisme », a déclaré
Luca Dall’Oglio, chef de mission de l'OIM en Haïti.
« Par ailleurs, le nombre d’anciens résidents
des camps qui sont partis sans logement adéquat reste
inacceptable, alors qu’ils ont principalement
été conduits hors des camps à cause de
facteurs tels que les mauvaises conditions de vie, la pluie,
l'insécurité, la criminalité et les
expulsions. »
En plus de la diminution de la population des camps, l'OIM fait
état d’une baisse proportionnelle du nombre de camps.
Pour la première fois, les estimations du nombre total de
camps sont passées au-dessous de 1 000. D'après les
données de l'OIM, il y aurait aujourd'hui 894 sites
occupés.
La diminution du nombre de personnes dans les camps peut
être attribuée à la détérioration
des conditions de vie, à l'insécurité et aux
expulsions forcées dont un total de 348 cas a
été identifié depuis juillet 2010.
L'OIM a découvert que la fermeture de 27 des 107 sites de
déplacement au cours de la dernière période
d’évaluation était le résultat des
expulsions. Ces 27 sites représentent environ 7 846 des 40
000 individus qui ont quitté les camps depuis juin 2011.
Le nouveau rapport de l'OIM est publié au moment
où de nombreux organismes de gestion des camps se retirent
ou réduisent leurs services. Bien que la transition vers une
autogestion ait eu quelques succès, il existe une pression
croissante quant à la fourniture de solutions de logement
pour les déplacés internes.
Le gouvernement haïtien développe une proposition
globale qui permettrait de fermer six des plus grands camps et de
réintégrer 16 communautés.
Compte tenu des 600 000 déplacés internes encore
présents dans les camps, l'ampleur du problème de
logement en Haïti reste effrayante.
Le rapport complet de la DTM est disponible sur
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target="_blank" title="">www.cccmhaiti.info et
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Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Leonard Doyle
OIM Haiti
Tel: + 509 3702 5066
E-mail:
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