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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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La PM du Bangladesh se rend dans les zones inondées à Cox’s Bazar et appelle le gouvernement et la communauté internationale à aider les réfugiés les plus vulnérables en provenance du Myanmar
Cox’s Bazar – L’OIM, l’organisme des Nations Unies chargé des migrations, a salué, hier, la visite de la Première Ministre du Bangladesh, Sheikh Hasina, afin d’évaluer la crise humanitaire actuelle à Cox’s Bazar. Environ 370 000 personnes ont fui vers le district du Myanmar voisin afin d’échapper à la violence depuis le 25 août.
La Première Ministre, accompagnée de hauts fonctionnaires de son administration, s’est rendue à Cox’s Bazar pour étudier la situation humanitaire qui s’aggrave et rencontrer des personnes réfugiées dans le camp de Kutupalong. « Nous devons leur donner un abri… de la nourriture, des médicaments… [pendant] tout le temps que le [Myanmar] ne peut pas les reprendre », a-t-elle déclaré.
En parlant avec de nouveaux arrivants grâce à des interprètes de l’OIM, la Première Ministre était visiblement attristée par ce qu’elle a entendu et a demandé aux membres de son gouvernement et aux organisations internationales d’intensifier leur aide aux plus vulnérables.
L’OIM continue de travailler en collaboration étroite avec le gouvernement du Bangladesh et intensifie rapidement ses interventions dans une crise humanitaire qui perturbe les structures d’aide existantes à Cox’s Bazar. Cet afflux semble se poursuivre, avec de nombreux nouveaux arrivants toujours en déplacement et des milliers d’autres qui attendent de traverser la frontière vers le Bangladesh.
De nombreux nouveaux arrivants quittent les camps de fortune sur le bord de la route, principalement au sud du district de Cox’s Bazar, pour rejoindre de nouveaux sites qui commencent à émerger.
De nombreux autres commencent également à s’installer sur les 600 hectares de terrain près de l’établissement de Kutupalong, que le gouvernement a délimité pour installer temporairement les nouveaux arrivants.
L’administration locale diffuse des messages aux personnes qui campent au bord des routes leur proposant de se rendre dans la nouvelle aire de campement et les organisations humanitaires se préparent à y fournir de l’aide.
Les communautés locales sur le site sont compatissantes envers les nouveaux arrivants. Le Comité local de la mosquée et les dirigeants politiques et communautaires fournissent ainsi une aide de base, notamment de la nourriture, des abris et des transports.
Les nouveaux arrivants dans tous les lieux de déplacement ont urgemment besoin d’aide, notamment de nourriture, d’eau et d’assainissement, de santé et de protection. D’après les planificateurs, une réponse rapide, globale et multisectorielle est aujourd’hui nécessaire : 60 000 abris, 4,5 millions de litres d’eau par jour, 15 000 latrines et 1,5 million de kilogrammes de riz par mois.
Dimanche, l’OIM a lancé un appel de de 26,1 millions de dollars pour répondre aux besoins d’ici la fin 2017. L’appel de l’OIM fait partie d’un appel plus large (Plan d’intervention préliminaire du GCI) de 77,1 millions de dollars par les organisations du GCI présentes à Cox’s Bazar.
Le Département britannique pour le développement international (DFID) a accepté de donner 1,15 million de dollars à l’OIM. La Commission européenne a également engagé 3 millions d’euros pour aider à répondre aux besoins les plus urgents des nouveaux arrivants.
L’OIM a alloué 2,5 millions de dollars de son Fonds d’intervention d’urgence. Plus tôt, le Fonds des Nations Unies pour les interventions d’urgence (CERF) a confirmé la contribution de 7 millions de dollars à l’appel du GCI par l’entremise de diverses organisations. Toutefois, le déficit financier devrait encore augmenter à mesure que les Birmans continuent d’affluer du Myanmar.
Les organisations du GCI ont réalisé une évaluation rapide conjointe la semaine dernière et le groupe devrait élaborer un plan entièrement opérationnel intégrant les besoins de tous les ressortissants birmans sans papiers et les réfugiés enregistrés à Cox’s Bazar d’ici la fin 2018.
Pour plus d’informations, veuillez contacter l’OIM au Bangladesh, Peppi Siddiq in Dhaka, Email : pksiddiq@iom.int, Tel. +8801755568894. Ou Chris Lom à Cox’s Bazar, Email : clom@iom.int, Tel. +8801733335221.