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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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La matrice de suivi des déplacements en Haïti indique une baisse de 87% des familles déplacées à l’intérieur du pays depuis le séisme de 2010
Haïti - L’OIM a relevé la plus forte baisse du nombre de déplacés internes depuis janvier 2011 pendant la période couverte par la Matrice de suivi des déplacements (DTM) de juillet à septembre 2013. La DMT indique cependant qu’un total de 172 000 individus, soit 45 000 familles, sont toujours déplacés dans 306 sites ou camps en Haïti.
« Depuis le séisme de janvier 2010 qui a déplacé 1,5 million d’Haïtiens, l’OIM a enregistré une baisse de 87% du nombre de familles déplacées et une baisse de 80% du nombre de sites ou de camps », explique Gregoire Goodstein, chef de mission de l’OIM en Haïti.
Les programmes de retour offrant des subventions à la location et menés à bien ces trois derniers mois ont permis de fermer 42 sites et de reloger plus de 14 460 familles, représentant 99% du nombre total de familles ayant quitté ces camps. Le un pour cent restant représente les départs volontaires.
Dirigés par le gouvernement haïtien, en collaboration avec l’OIM et d’autres partenaires, les programmes de retour ont permis de fermer 273 sites depuis juin 2011 et de reloger environ 55 900 familles déplacées.
« Malgré les progrès accomplis, de nombreuses familles vivent encore dans des conditions indignes et dangereuses, avec un risque toujours présent d’expulsion par les propriétaires fonciers. Il est important que la communauté internationale s’active pour clore ce chapitre de déplacement, un objectif réaliste qui pourrait être atteint dans les deux prochaines années », ajoute Gregoire Goodstein.
L’OIM en Haïti rapporte que sur les 306 sites toujours ouverts, seuls deux bénéficient d’une aide soutenue à la gestion des camps de la part de la communauté internationale. Plus de 50% disposent de toilettes, seuls 26 ont accès à l’eau sur place, et seuls 11 disposent d’un système d’égouts.
Sur les 306 sites identifiés pendant la période couverte, 24% (72 sites) seraient installés sur des terrains publics alors que 75% (229 sites) sont installés sur des propriétés privées. Les données sur les cinq camps restants étaient insuffisantes pour les classer dans une catégorie.
Pour davantage de détails, veuillez vous référer aux rapports et aux cartes ou rendez-vous sur le site internet de la DTM : www.iomhaitidataportal.info.
Pour plus d’information, veuillez contacter
Peter Kioy
OIM Haïti
Email: pkioy@iom.int
Mobile: +509 3702-1663.