-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Clôture du programme sur la migration UE/ACP : Enseignements et bonnes pratiques
Bruxelles - Un engagement accru sur les questions de migration entre les autorités nationales en Afrique et les régions d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) est l’une des pratiques les plus prometteuses dans l’analyse de conclusion d’un programme de cinq ans financé par l’Union européenne mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
« Nous constatons que les réunions régionales et interrégionales entre pairs ont permis d’accroître la coopération régionale et Sud-Sud. Elles ont permis à toutes les parties concernées de partager des expériences et des bonnes pratiques autour des envois de fonds, de la traite d’êtres humains et du trafic illicite de migrants, des visas et de la coopération en matière de mobilité », a déclaré Jill Helke, Directrice de la coopération internationale et des partenariats à l’OIM.
« Dans le même temps, les gouvernements de l’ACP, les acteurs non-étatiques et les organisations régionales ont exprimé un ensemble de besoins lors du programme qui a conduit à une meilleure compréhension des priorités migratoires dans chaque région.
Ces pratiques et d’autres bonnes pratiques et enseignements tirés ont été présentés lors de l’événement de clôture du Programme d’action sur la migration hier (17/07), à Bruxelles, avec plus de 90 acteurs du Dialogue ACP-UE sur la migration et le développement, des représentants des Etats membres de l’ACP et de l’UE, du Secrétariat de l’ACP et de la Commission européenne, des groupes de réflexion, de l’OIM et des agences des Nations Unies.
« Grâce à l’aide au développement de l’OIM, nous aiderons nos partenaires à améliorer la capacité à garantir des migrations bien gérées afin qu’elles soient mieux à même de faire face à ses difficultés. Nous aidons également à accroître les possibilités de développement résultant de la migration, en travaillant sur l’abaissement des coûts des envois de fonds et en faisant participer la diaspora », a déclaré Camilla Hagström, chef d’unité par intérim à la Direction générale de la Commission européenne pour la coopération internationale et le développement.
« Le programme d’action sur la migration est un outil précieux pour appuyer des actions concrètes dans ces régions. Nous continuerons d’œuvrer aux côtés de nos pays partenaires sur la gouvernance des migrations, conformément au Programme 2030 et au Consensus européen sur le développement. Bien sûr, cela suppose de tirer les enseignements du programme lui-même », a-t-elle poursuivi.
Le programme a apporté une aide technique, soutenu des projets locaux et produit des connaissances sur la migration pour les pays de l’ACP et les organisations régionales.
« Les requêtes axées sur la demande ont permis des interventions d’aide technique sur mesure. Elles ont permis de développer une connaissance plus approfondie des régions ACP et des besoins spécifiques aux pays et ont renforcé l’appropriation du processus et des résultats de la part des entités requérantes », a déclaré l’Ambassadeur Léonard-Emile Ognimba, Secrétaire-général assistant de l’ACP.
A travers le programme, l’OIM a également organisé trois réunions thématiques régionales de pair-à-pair en Afrique, dans les Caraïbes et dans le Pacifique et a offert un soutien financier à 15 acteurs non-étatiques pour des projets au niveau local. Pour exploiter les connaissances générées par le programme, ce dernier a produit cinq publications thématiques sur les visas, les envois de fonds, la traite d’êtres humains/trafic illicite de migrants, la réadmission et les bonnes pratiques.
Le programme, lancé en 2014, a été financé par le 10ème Fonds européen pour le développement et soutenu par le Secrétariat de l’ACP et l’UE.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site : www.acpeumigrationaction.iom.int et suivez sur Twitter : @ACP_EU_Action et sur Facebook : https://www.facebook.com/acpeuaction/
Visionnez cette vidéo pour plus d’informations sur le Programme d’action sur la migration ACP-UE.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Vasiliki Polychronopoulou, Bureau régional de l’OIM à Burxelles, Tel. +32 (0)2 287 78 17, email : polychronop@iom.int et acpeumigrationaction@iom.int