-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
86% des habitants ont perdu leur source de revenu après l’éruption volcanique meurtrière au Guatemala
Guatemala City - Aujourd’hui, 19 juillet, l’organisme des Nations Unies chargée des migrations, a signalé que 86 pour cent des personnes touchées par l’éruption du Volcán de Fuego le mois dernier ont perdu leurs sources de revenu ou leurs entreprises. D’après des sondages réalisés par l’OIM, 43 pour cent ont perdu leurs terres agricoles et 13 pour cent déclarent avoir l’intention de migrer illégalement.
Pour faire face à l’urgence résultant de l’éruption, l’OIM travaille en coordination étroite avec le gouvernement du Guatemala. Deux sondages ont été réalisés pour évaluer les caractéristiques de la population touchée. En outre, des mesures ont été prises pour améliorer l’aide apportée aux personnes réfugiées dans des abris et pour prévenir la traite d’êtres humains.
D’après le dernier sondage sur les attentes et les moyens de subsistance, 41 pour cent des personnes interrogées ont déclaré avoir besoin d’un logement, d’un travail (25 pour cent), de terres agricoles (18 pour cent) et d’une aide financière (7 pour cent). Par ailleurs, 9 pour cent ont déclaré avoir notamment besoin de formations, de bourses d’études, de mobilier et de fournitures médicales.
Les informations ont été recueillies par la Matrice de suivi des déplacement (DTM) lors d’entretiens menés auprès de personnes réfugiées dans des abris. Elles sont déjà disponibles pour les autorités gouvernementales, les organismes des Nations Unies, les organisations internationales et les corps diplomatiques, afin de répondre de manière globale aux besoins de la population touchée.
Les résultats montrent que tous les abris ont des périmètres de sécurité acceptables et des cliniques pour les premiers soins. Toutefois, tous les abris actifs sont exposés à un certain degré de vulnérabilité, en particulier dans les domaines de l’eau, de l’assainissement, de la protection et de la santé. Ainsi, l’OIM allouera 319 980 dollars à l’amélioration des infrastructures pour les abris par le biais du Fonds central pour les interventions d’urgence (CERF).
Dans le même temps, pour prévenir les crimes de violences sexuelles et de traite de personnes dans les abris, le Programme de l’OIM en Mésoamérique distribue des supports informatifs aux parents, aux enfants et aux adolescents, en coordination avec le Secrétariat contre les violences sexuelles, l’exploitation et la traite des personnes, et avec le soutien du Bureau de la population, des réfugiés et des migrations du Département d’Etat américain.
L’OIM a développé une page internet consultable par tous où les données, statistiques, infographies et informations les plus pertinentes sont constamment mises à jour. Elle est accessible ici.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Melissa Vega, OIM Guatemala, email : mevega@iom.int ou Alba Miriam Amaya, de l’OIM au Salvador, au Guatemala et au Honduras, email : aamaya@iom.int