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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Depuis plus d'une décennie, la pénurie mondiale de professionnels de la santé est qualifiée de crise, et des programmes visant à aborder la question des ressources humaines pour la santé ont été proposés pour surmonter les difficultés. Le Rapport sur la santé dans le monde 2006 a appelé à accroître l’attention mondiale sur les ressources humaines pour la santé, notamment en ce qui concerne l’importante pénurie de professionnels de santé qualifiés (sages-femmes, personnel infirmier et médecins) dans 57 pays et le rôle central des travailleurs sanitaires pour accélérer les progrès en vue des objectifs de développement durable relatifs à la santé.
L'évolution des interactions entre le secteur de l'éducation (centré sur la réalisation de l’ODD n° 4 : assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie) et le secteur de la santé (axé sur la réalisation de l’ODD n° 3 : permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge) sera essentielle pour garantir l’optimisation des personnels de santé actuel et la formation de futurs effectifs de santé qui répondent aux besoins de la population dans le monde entier.
Le Code de pratique mondial de l'OMS pour le recrutement international des personnels de santé (le « Code ») adopté en 2010 encourage l'échange volontaire d'informations sur les questions relatives à la migration des personnels de santé, et suggère de faire état, tous les trois ans, des mesures prises pour mettre en œuvre le Code.
L'OIM travaille en collaboration avec les gouvernements nationaux et d'autres parties prenantes sur des programmes qui favorisent la gestion efficace de la migration des travailleurs sanitaires, le renforcement des capacités des systèmes de santé dans les pays d'origine et le transfert de compétences/ connaissances de la diaspora.
La mobilité de la main-d'œuvre en général, et la migration des travailleurs sanitaires en particulier, continuera à augmenter dans les années à venir. Les outils de santé mondiaux tels que le code de pratique de l'OMS et le document intitulé « Personnels de santé 2030 : une stratégie mondiale sur les ressources humaines pour la santé », ainsi que la résolution pertinente de l'Assemblée mondiale de la santé de 2008 sur la santé des migrants, fournissent un cadre fondé sur des données probantes pour promouvoir les bonnes pratiques et prévenir les effets négatifs de la migration des travailleurs sanitaires.
L'OIM estime qu'une migration bien gérée des travailleurs sanitaires peut jouer un rôle clé dans le développement en général, ainsi que dans le renforcement des capacités des systèmes de santé non seulement dans les pays d'accueil, mais aussi dans les pays d'origine. Cela nécessite un engagement avec de multiples secteurs, notamment ceux de la santé, du travail et du commerce au sein des gouvernements nationaux ; les acteurs du recrutement international ; les associations de professionnels de la santé et les experts chercheurs, ainsi que les partenaires des Nations Unies comme l'OMS et l'OIT. Il convient d'élaborer et d'appliquer des modèles solides d'accords bilatéraux et multilatéraux sur le recrutement de professionnels de santé internationaux, tout en respectant la liberté des travailleurs sanitaires de migrer. De tels accords peuvent également favoriser la migration régionale et faciliter la migration circulaire ou la migration de retour pour des compétences essentielles. Enfin, il est primordial d'améliorer la disponibilité et la comparabilité internationale des statistiques migratoires des personnels de santé si l'on veut que les pays élaborent des politiques fondées sur des données probantes.