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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM collabore avec le gouvernement du Nicaragua en vue de créer des emplois pour les personnes vulnérables
Cette semaine, 37 personnes vulnérables, notamment des
victimes de traite, démarrent une nouvelle vie en ouvrant
officiellement leurs petites entreprises avec le soutien de l'OIM,
du Ministère du travail et des autorités locales
d'Ocotal, de Somoto et de Chinandega.
Les participants, qui ont reçu une aide pour créer
un projet d'entreprise et un soutien financier, sont
désormais les fiers propriétaires de petites
épiceries, de kiosques de restauration rapide, de
boulangeries, de salons de coiffure pour hommes, de boutiques de
réparation de bicyclette et de magasins de vêtements
neufs ou d'occasion, entre autres.
Depuis 2007, lorsque l'OIM au Nicaragua a commencé
à fournir une aide au retour et à la
réintégration aux victimes de traite, grâce au
financement du Bureau de la population, des réfugiés
et des migrations (PRM) du Département d'Etat
américain, l'Organisation a œuvré pour
l'établissement d'un partenariat solide avec les
autorités locales et le secteur privé, afin de
garantir la réintégration économique des
migrants de retour.
« Le projet fait désormais partie d'un programme
régional de l'OIM et d'un modèle pour
l'Amérique centrale. Notre stratégie principale est
de coordonner les institutions au niveau local avec les secteurs
public et privé », explique Brenda de Trinidad,
responsable du projet de l'OIM au Nicaragua.
« L'OIM mène à bien des activités de
sensibilisation ainsi que des formations et le renforcement de
capacités avec les familles, les chefs de communautés
et les communautés toutes entières, ainsi qu'avec les
autorités locales, qui sont aujourd'hui des réseaux
de soutien bien établis pour ces migrants de retour »,
ajoute Brenda de Trinidad.
Une jeune femme victime de traite qui a été
dupée par une trafiquante puis aidée par l'OIM
à rentrer chez elle se souvient : « J'ai
rencontré une femme qui m'a donné de l'argent et qui
m'a dit qu'on pourrait aller ensemble au Panama pour acheter des
vêtements et d'autres marchandises pour que je puisse
créer ma petite entreprise au Nicaragua. Je n'avais pas
d'argent et pas de travail alors j'ai accepté son offre.
»
Mais elle a remarqué que quelque chose n'allait pas quand
le bus est entré au Honduras. « Je lui ai
demandé pourquoi on allait dans la direction opposée,
et elle m'a dit de ne pas m'inquiéter et m'a donné un
soda. Je ne sais pas ce qu'elle a mis dans ma boisson mais je me
suis endormie puis réveillée au Guatemala »,
ajoute-t-elle.
Une fois au Guatemala, elle a été emmenée
dans une boite de nuit et forcée à la
prostitution.
Le Nicaragua est un pays d'origine et de transit pour la traite
à des fins d'exploitation sexuelle, bien qu'en 2011,
certains cas d'hommes victimes de traite pour le travail
forcé dans les secteurs de l'agriculture et de l'industrie
aient été signalés. Les principaux pays de
destination des victimes de traite nicaraguayennes sont le
Guatemala, le Salvador, le Costa Rica et le Mexique.
« Les personnes que nous aidons sont des migrants qui ont
échoué, des victimes de traite, tous sont des
personnes qui ont enduré tous types de maltraitance,
à savoir des viols, des violences physiques, de
l'exploitation sexuelle et du travail forcé, et des vols
», conclut Brenda de Trinidad.
« Pour garantir la réussite des nouveaux
entrepreneurs, l'OIM et ses partenaires ont réalisé
un guide pratique pour les petites entreprises qui comprend les
enseignements tirés, le développement de projets
d'investissement et d'entreprise et d'aide juridique, ainsi que
d'autres questions importantes comme la prise de confiance en soi
et l'hygiène au travail », explique Daizen Oda,
spécialiste du programme de l'OIM sur la
réintégration économique de la population
migrante vulnérable.
Les partenaires de l'OIM comprennent : les ministères de
l'intérieur et de la famille, les maires, les chambres
locales du commerce, des ONG, des entreprises privées, des
médias et des bénévoles.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Niurka Pineiro
OIM Washington
Tel: +1 202 862 1826, Ext. 225
E-mail:
"mailto:npineiro@iom.int">npineiro@iom.int
Brenda De Trinidad
IOM Nicaragua
Tel: +505.22.78.9569
E-mail:
"mailto:bdetrinidad@iom.int">bdetrinidad@iom.int
ou
Daizen Oda
OIM Nicaragua
Tel: +505.22.78.9569
E-mail:
"mailto:doda@iom.int">doda@iom.int